1. Le forum de Minecraft-France va définitivement fermer ses portes. Celui-ci restera en lecture seule mais vous ne pourrez plus y apporter de nouveaux topics. Nous vous invitons à nous rejoindre sur le Discord de Minecraft-France qui permet de présenter vos projets, discuter avec la communauté etc.. Merci à tous d'avoir fait vivre ce forum de nombreuses années. Pour nous rejoindre sur Discord, Cliquez ici

Autres Écrire un RP potable ?!

Discussion dans 'Tutoriels' créé par Dreadroot, 16 Juil 2015.

  1. Dreadroot

    Dreadroot Bûcheron

    Inscrit:
    19 Mai 2015
    Messages:
    207
    Points:
    93
    Sommaire :

    I - Introduction
    II - Les outils nécessaires
    III - S’adapter à son environnement
    IV - Écriture
    V - Lecture & correction
    VI - Mise en page et police
    VII - Conclusion​

    I – INTRODUCTION

    Bonjour à tous, dans ce tutoriel j’essaierai de vous guider dans votre rédaction d’un texte roleplay. C’est simple, ce qui va suivre comportera plusieurs étapes qui vous introduiront aux rudiments de la langue française, aux abstractions de l’imaginaire et aux… euh, aux pamplemousses sataniques ? Bref, suivez bien parce que ça risque d’être compliqué.

    Premièrement, sachez qu’il n’y a pas de bonne ou de mauvaise idée (Ouais ok y a le truc de l’orphelin, mais osef). Les exemples utilisés dans ce tutoriel ne sont pas nécessairement de bonnes idées, n’essayez pas de plagier ! Ensuite, sachez que l’originalité l’emporte toujours, donc essayez d’être un peu originaux lors de votre rédaction, c’est bien plus payant que de suivre un tutoriel.

    Deuxièmement, qu’est-ce que j’entends par roleplay potable ? Un roleplay potable, selon moi, c’est un texte original, sans trop de fautes, qui pourrait vous assurer une candidature validée sans trop de problèmes. Pour faire tout ça, nous allons devoir explorer les structures et les chemins possibles d’un roleplay basique. En plus, sachant que ça peut être à peu près n’importe quoi, je vais devoir vous expliquer très clairement (Même trop, tk j’pense).

    II – LES OUTILS NÉCESSAIRES

    1. La plume

    D’abord, vous devez choisir l’outil principal ! Celui qui va vous permettre de juxtaposer les lettres, de compléter les mots et d’empiler les phrases. Encore une fois, sachez qu’il n’y a pas de bon ou de mauvais outil, c’est vous qui décidez ce que vous aimez. Pour les classiques, il y a toujours ceux-là de disponibles :

    Word : facile à prendre en main, accessible et très efficace pour les grosses corvées.
    OpenOffice : le quasi-sosie de Word, mais en gratuit. Efficace et simple.
    LibreOffice : Un peu le même concept que les deux autres, mais en moins connu.​

    Dans les un peu moins connus, il y a :

    LateX : très développé et très compliqué à prendre en main, mais aussi très efficace.
    SublimeText : parfait pour les junkies de la souffrance visuelle.
    Bloc-notes : Là c’est de la torture, mais ça fonctionne quand même.​

    Sinon, vous pouvez toujours utiliser celui de base disponible sur le forum/site où vous pensez poster votre texte ! Une liste plus complète des logiciels de traitement de texte est disponible ici (https://fr.wikipedia.org/wiki/Logiciel_de_traitement_de_texte).

    Ah ouais, pour les vieux de la vieille, la plume et le crayon existent encore o/.

    2. Le correcteur

    L’outil secondaire, l’adjudant dans votre quête d’écriture ! C’est ce gentilhomme qui vous permettra de rendre votre texte agréable aux yeux. C’est lui qui corrigera avec acharnement vos textes. Soyez gentil avec lui, restez poli. Commençons avec les classiques :

    Scribens : partiellement gratuit et très très très très efficace (Au point de souligner mes trois « très » et de m’signaler une erreur).
    Bonpatron : je ne l’ai jamais utilisé, mais askip’ c’est un très bon correcteur.
    Antidote : wow. Il n’est pas gratuit, il coûte même très cher, mais il en vaut largement la peine si vous pensez l’utiliser plus d’un an !​

    Dans la catégorie des moins connus :

    Corrigemoi.fr : Disponible h24 sur le web, oh yeah.
    Reverso : Ouais lui je ne lui fais pas confiance, mais bon, à votre guise.
    Lerobert : Un peu comme Bonpatron, mais en moins bien :/.​

    Sinon, vous pouvez utiliser celui implémenté dans votre logiciel de traitement de texte ! Une liste moyennement pas très complète est disponible ici (https://fr.wikipedia.org/wiki/Correcteur_(informatique)).

    3. La référence

    Ça c’est tout ce qui n’est pas disponible sur le web (En général) ! Recueils de grammaire, dictionnaires de 3000 pages et conjugueurs ! Ceux que je connais et ceux que j’utilise principalement :

    - Larousse illustré;
    - Le robert (Ou le petit robert);
    - Le multi (dictionnaire);
    - Bescherelle;
    - Recueil des exceptions de la langue française.​

    Pour ce qui est du crayon, j’utilise une plume Parker (voir Parkerpen.com) avec l’encre de base (Encre Parker). Le papier, j’utilise soit des feuilles lignées classiques, ou bien des feuilles de soie 2mm d’épaisseur (Pour les trucs plus importants).

    III – S’ADAPTER À SON ENVIRONNEMENT

    Possédant désormais les outils nécessaires, vous allez pouvoir vous adapter à l’univers roleplay fourni par le serveur/site où notre texte sera utilisé.

    Premièrement, vous devez absolument aller lire les textes fournis par les administrateurs du serveur / site. Ceux-ci vous permettront de définir dans quel type d’univers votre roleplay devra se situer, quelques exemples sont : médiéval, fantastique, science-fiction, post-apocalyptique, etc.

    Deuxièmement, je vous recommande fortement de jeter un coup d’œil aux candidatures acceptées et refusées. Ceci vous permettra d’évaluer la longueur requise pour le texte et d’éviter les choses à ne pas faire.

    Troisièmement, sachant que chaque serveur a ses propres règles, vous devriez aller les lire !

    IV – ÉCRITURE DU TEXTE

    On entre dans le vif du sujet ! Attachez vos tuques parce que là ça va commencer à se compliquer et surtout à s’allonger ! Pour exemple de texte, j’ai choisi un roleplay plutôt court que j’ai écrit il y a un petit moment déjà.

    Léon regardait pour la dernière fois la lueur s’épanouir, se souvenant des étés de labeur, des vents qui faisaient danser la glèbe et des nuits humides à regarder chanceler les émanations lumineuses de la calbombe. En ce matin d’hiver, Léon, sa famille et le reste des habitants quittèrent, comme à l’habitude saisonnière, le village pour des terres riches et chaudes. Ils prirent leurs fourrures les plus belles, leurs étalons les plus fidèles, leurs réserves les plus gourmandes et dévalèrent le long sentier de pergélisol. Se dirigeant à vive allure vers l’imposant soleil du Sud, ils foncèrent têtes baissées en direction de leur pire cauchemar; un monstre des neiges de plus de 13 pieds aux canines de glace tranchante et aux bras armés de glaçons effilés. La créature se jeta violemment sur les fiacres de certains, écrasant les carcasses affolés de ses victimes et tranchant le moindre morceau de chair en lambeaux. Puis, elle tituba le long du chemin, renversant calèches et autres. Soudainement, elle saisit un reste d’arbre mort gelé, le fit tournoyer au-dessus de sa tête et le lança brutalement sur la charrette où Léon se situait. Cette dernière se mit à virevolter dans les airs, expulsant avec puissance les frères, sœurs et parents de Léon. Ceux-ci eurent le temps de fuir, mais ils durent abandonner Léon, évanoui dans la neige folle, laissé à son affreux destin.Léon se réveilla quelque part, sur une plage sèche. Il marcha des jours vers un éclaircissement lointain dans la forêt. Là-bas, il y découvrit un petit village avec une populace négligeable. Tous parlaient un langage inconnu à l’oreille de Léon. Une seule chose restait semblable, la date. D’ailleurs, celle-ci semblait avoir avancé de 25 hivers. Cependant, Léon, lui, n’avait pas changé.

    Voilà, c’est le texte que nous allons utiliser comme exemple. J’espère qu’il vous a plu puisqu’on va beaucoup en parler. D’ailleurs, je le sépare en couleurs différentes pour la prochaine étape; le schéma narratif de base.

    Situation initiale : facultative

    Dans cette partie optionnelle, on découvre le qui, quoi, où, pourquoi, comment. Principalement, c’est une espèce d’introduction au texte, histoire de ne pas tomber directement dans l’action. Elle n’est pas obligatoire, vous pouvez donc commencer vos textes par l’élément déclencheur; style très utilisé au niveau des nouvelles. De manière générale, on essaie d’avoir au moins trois des choses demandées plus haut (qui, quoi, etc.).

    Léon regardait pour la dernière fois la lueur s’épanouir, se souvenant des étés de labeur, des vents qui faisaient danser la glèbe et des nuits humides à regarder chanceler les émanations lumineuses de la calbombe.

    Les plus téméraires d’entre vous l’aurez remarqué, il n’y a pas vraiment de qui, quoi, comment, où, etc. dans cette situation initiale. Effectivement, j’ai plutôt développé au niveau de la psychologie du personnage; pour montrer qu’il est nostalgique (En évoquant des souvenirs). D’ailleurs, vous pouvez également noter que j’utilise un vocabulaire peu commun (les mots soulignés). C’est ici qu’intervient la deuxième partie de l’adaptation à l’environnement. De manière simple et générale, si le serveur/site où vous postulez est basé sur un thème médiéval; utilisez des mots plus anciens, des synonymes peu communs, etc. (Histoire de faire plus littéraire que familier).

    Élément déclencheur :

    Titre qui explique plutôt bien le concept de l’élément déclencheur. En bref, c’est l’élément qui vient perturber le personnage principal, qui vient l’amener à sortir de sa zone de confort, qui l’oblige à s’aventurer dans les péripéties pour régler son problème.

    En ce matin d’hiver, Léon, sa famille et le reste des habitants quittèrent, comme à l’habitude saisonnière, le village pour des terres riches et chaudes.

    Et voilà, notre personnage est sorti de sa bulle, il devra maintenant se lancer dans sa quête ! De manière générale, essayez de rendre l’élément qui perturbe plutôt imposant.

    Déroulement :

    Il n’y a pas grand-chose à dire au niveau du développement de l’histoire. C’est simple, le personnage entreprend une action et le résultat est soit mauvais, soit bon. D’ailleurs, remarquez l’utilisation de verbes forts (Qui montre du mouvement brusque, imposant, etc.). Je l’ai ai mis en gras !

    Ils prirent leurs fourrures les plus belles, leurs étalons les plus fidèles, leurs réserves les plus gourmandes et dévalèrent le long sentier de pergélisol. Se dirigeant à vive allure vers l’imposant soleil du Sud, ils foncèrent têtes baissées en direction de leur pire cauchemar; un monstre des neiges de plus de 13 pieds aux canines de glace tranchante et aux bras armés de glaçons effilés. La créature se jeta violemment sur lesfiacres de certains, écrasant les carcasses affolés de ses victimes et tranchant le moindre morceau de chair en lambeaux. Puis, elle tituba le long du chemin, renversant calèches et autres. Soudainement, elle saisit un reste d’arbre mort gelé, le fit tournoyer au-dessus de sa tête et le lança brutalement sur la charrette où Léon se situait. Cette dernière se mit à virevolter dans les airs, expulsant avec puissance les frères, sœurs et parents de Léon. Ceux-ci eurent le temps de fuir, mais ils durent abandonner Léon, évanoui dans la neige folle, laissé à son affreux destin.

    De plus, je tiens à ajouter que si, par exemple, votre texte parle de la neige et du froid. Bah n’hésitez surtout pas à vous renseigner sur le sujet, en vérité, je vous le recommande !
    Justement, c’est l’heure de parler un peu du vocabulaire.

    Le vocabulaire :

    Pendant la rédaction d’un roleplay, il est, normalement et généralement, important d’adopter un vocabulaire plutôt soutenu, des phrases bien formées et sans manques de négations.

    Exemple : « C’était pas une personne qui fait des jeux de mots nuls » deviendrait, éventuellement, ça : « Ce n’était pas un turlupin ». Remarquez que la phrase est plus courte et qu’on y utilise un autre type de vocabulaire moins commun. Trouver un mot est généralement simple, tapez sur google « personne qui fait des jeux de mots » et vous tomberez sûrement sur la définition de turlupin.​

    D’ailleurs, n’hésitez pas à utiliser des synonymes ! Attention, les synonymes n’ont parfois pas la signification exacte d’un autre mot. Petit exemple : Fadaise et propos sont des synonymes, pourtant l’un est péjoratif et l’autre ne l’est pas.

    De plus, je vous recommande de lire des vieux livres de l’époque, c’est là qu’on trouve les mots les plus intéressants. Vous n’avez qu’à chercher, dans un dictionnaire, les mots que vous ne connaissez pas ! Sinon, si vous ne voulez vraiment pas lire le livre, bah ouvrez une page au hasard et trouvez un mot.

    Ensuite, parlons un peu des temps de verbe.

    Le temps :

    Je vous conseille cette page : http://www.bertrandboutin.ca/Folder_151_Grammaire/B_i_modes_et_temps.htm

    Elle explique en détail les six modes possibles, comment l’imparfait, le passé simple et le passé composé peuvent être utilisés, etc. D’ailleurs, ça m’évite de tout réexpliquer.

    Les figures de style :

    Là aussi je ne vais pas vous redonner un cours sur les figures de style, à vous de choisir ce qui vous tente ! Consultez cette page : http://www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-42796.php

    Les expressions :

    Il n’y a pas vraiment d’expressions particulières à utiliser. Par contre, il est très très très important de faire attention aux expressions que vous utilisez. La plupart du temps, elles sont mal formulées ou incohérentes. Exemples : non plus, aussi, à jamais, que j’ai jamais vu, etc.

    Dénouement :

    Le dénouement, c’est là où le problème est résolu. Généralement, c’est une partie du texte plutôt courte. D’ailleurs, si vous le souhaitez, vous pouvez terminer votre texte avec le dénouement. Par exemple, dans le film « Le sixième sens », avec Bruce Willis, le personnage apprend son sort et le film se termine, il n’y a pas de « Et après ? » (De rien, j’ai pas spoilé).

    Léon se réveilla quelque part, sur une plage sèche. Il marcha des jours vers un éclaircissement lointain dans la forêt. Là-bas, il y découvrit un petit village avec une populace négligeable.

    Voilà un dénouement très classique. Je sais, c’est dur de ne pas faire un truc cliché. Dites-vous que si tout ce qui est bon est cliché et que si vous n’utilisez pas un truc cliché, bah votre texte sera peut-être mauvais, d’accord ? (Mais oui c’est clair). Les clichés, c’est bien, mais pas trop.

    Situation finale : facultative

    C’est là où tout se termine, l’histoire commencée prend généralement fin. D’accord, il peut y avoir une suite, mais disons que c’est la fin du volet 1. Normalement, il est important de démontrer dans la situation finale que le personnage principal, dû au problème qu’il a rencontré, est changé par l’événement. On essaie de démontrer qu’il y a eu une évolution psychologique. Si ça vous tente, vous pouvez même faire une espèce d’ouverture qui pourrait entraîner une suite à votre texte.

    Tous parlaient un langage inconnu à l’oreille de Léon. Une seule chose restait semblable, la date. D’ailleurs, celle-ci semblait avoir avancé de 25 hivers. Cependant, Léon, lui, n’avait pas changé.

    Voilà, notre histoire et cette section sont terminées. Sachez que cette section n’est pas complète, plusieurs sujets n’ont pas été abordés, par exemple : le récit enchâssant, l’ajout d’images (Photo-roman), etc.

    V – LECTURE ET CORRECTION

    Bon, c’est la partie la plus chiante… mais bon elle est normalement obligatoire pour tous.

    Premièrement, la lecture. La lecture devrait se faire habituellement quelques jours plus tard suivant la rédaction, histoire d’oublier le texte et faire en sorte que votre cerveau ne corrige pas inconsciemment les fautes. De plus, vous devriez diviser la lecture en trois parties.

    1. Lecture pour se remémorer le texte;
    2. Lecture pour voir s’il y a des incohérences;
    3. Lecture pour trouver les fautes​

    La plupart du temps, à la suite de la première lecture, vous devriez avoir repéré quelques phrases à changer et quelques incohérences. N’hésitez pas à les corriger ! D’ailleurs, si vous n’avez pas le temps de laisser quelques jours passer après la rédaction, prenez des phrases au hasard dans le texte, ça oblige votre cerveau à diviser le texte en plusieurs parties et non en un tout concis.

    Ensuite, il n’y a pas vraiment de technique magique et secrète qui permet d’écrire sans fautes, je le sais parce que si elle existait, je l’aurais. J’espère ne pas avoir à vous expliquer comment fonctionne un correcteur en ligne, tu copies et tu colles, voilà. Ensuite si ça peut vous être utile, voici un petit format classique qu’on utilise en cours :

    La belle pomme tombe de l’arbre feuillu.
    Dét. Adj. Nom. Verbe. Prép. Dét. Nom. Adj.
    On a qu’à faire les liaisons et il ne reste que la préposition « de » à corriger !​

    Cette méthode est plutôt efficace à l’écrit. Je ne vais pas non plus vous donner un cours sur le « c’est, ses, sait, ces, sais, s’est, ça, sa, ce, se, à, a, cet, cette, où, ou, quelle, qu’elle, etc. Si vous n’êtes pas certain d’un mot, d’un accord, tout ça, VÉRIFIEZ SUR INTERNET BORDEL (ou bah envoyez-moi un gentil mp pour que j’vous corrige gratuitement).

    VI – MISE EN PAGE ET POLICE

    Maintenant, c’est l’heure de sortir nos talents de designer, de graphiste, c’que vous voulez.

    La mise en page :

    - Faites des foutus paragraphes, mon dieu;
    - Faites des chapitres si ça vous tente et si c’est trop long (Surtout si c’est long)… ouais parce qu’un chapitre de deux lignes, ça fait pitié;
    - Lors d’un dialogue, mettez des espaces et assurez-vous aussi (Si ça vous tente de mettre quelques « Déclara-t-il, dit-il, énonça-t-il, etc. »);
    - Si ça vous tente, vous pouvez faire une tabulation au début du premier paragraphe, ça fait toujours plus classe (Perso, je n’aime pas mais bon);
    - Des p’tits retraits négatifs c’bien de temps en temps;
    - La justification de texte et le centrage c’pas moche non plus.​

    La police :

    - Prenez une police agréable aux yeux, ne priorisez pas la vitesse de lecture avec le Times new roman;
    - L’italique, le gras et le souligné, c’est bien quand c’est bien utilisé (Mettez en gras les éléments imposants du texte, les moments forts, soulignez les trucs utiles et mettez de l’italique pour vos dialogues);
    - (HS : Séparez les parties de vos candidatures avec des p’tits motifs ou images, c’beau ça).​

    VII – CONCLUSION

    J’vais m’étaler un peu, mais pas trop. Il n’y a pas de technique secrète pour écrire un bon roleplay, il faut de la patience, il faut écrire pour soi et non pour les autres, il faut le faire parce qu’on veut le faire, et non simplement pour le faire. N’inventez pas des personnages que vous n’êtes pas, retrouvez-vous un peu à travers votre texte, be what you wanna be ! (Ouais le speech). Sinon, si vous n’êtes vraiment pas apte à corriger votre truc, je suis disponible pour corriger vos p’tits posts/topics/roleplays (Si ça dépasse pas les 1000 mots), vous n’avez qu’à m’envoyer un MP ! Bonne chance mes p’tits écrivains en herbe (Ça fait très maman, j’aime (les mamans)).
     
    • J'aime J'aime x 4
    • Utile Utile x 2
    #1 Dreadroot, 16 Juil 2015
    Dernière édition: 11 Nov 2015
  2. Pikachu

    Pikachu Mineur

    Inscrit:
    26 Avr 2014
    Messages:
    392
    Points:
    89
    Sexe:
    Homme
    Franchement...
    Chapeau.

    C'est juste un super tutoriel. :<
     
    • J'aime J'aime x 1
    #2 Pikachu, 16 Juil 2015
    Dernière édition: 16 Juil 2015
  3. Dreadroot

    Dreadroot Bûcheron

    Inscrit:
    19 Mai 2015
    Messages:
    207
    Points:
    93
    Boarf, il n'a pas encore fait ses preuves, mais on verra peut-être un jour o/. Sinon, merci :3.
     
    • Amusant Amusant x 1
    • Optimiste Optimiste x 1
  4. Pikachu

    Pikachu Mineur

    Inscrit:
    26 Avr 2014
    Messages:
    392
    Points:
    89
    Sexe:
    Homme
    Moi je vote pour un épinglage. =<
    Sinon, ravi de faire tes premières vues ! :3
     
    • Sympa Sympa x 2
  5. MrBolbeck

    MrBolbeck Panda givré
    Membre Premium

    Inscrit:
    22 Oct 2013
    Messages:
    1 269
    Points:
    150
    Sexe:
    Homme
    Fessant du RP depuis un bon moment, et donc écrivent depuis un bon moment aussi ;

    Franchement, très beau tutoriel.
     
    • J'aime J'aime x 2
    • Optimiste Optimiste x 1
  6. Dreadroot

    Dreadroot Bûcheron

    Inscrit:
    19 Mai 2015
    Messages:
    207
    Points:
    93
    Merci compagnon !
     
    • J'approuve J'approuve x 1
    • Sympa Sympa x 1
  7. Dreadroot

    Dreadroot Bûcheron

    Inscrit:
    19 Mai 2015
    Messages:
    207
    Points:
    93
    Correction de quelques fautes, eh ouais même les correcteurs ne sont pas irréprochables !
    Merci de vos retours.
     
    • J'aime J'aime x 2

Partager cette page