Texte Erys

Bonjour à toutes et à tous.

Avant que vous ne téléchargiez les pdf de ce récit, sachez que ces textes n'ont pas où presque peu de rapport à Minecraft, bien qu'ils aient été pensés pour réaliser un quelconque scénario.

Je précise aussi que je ne suis pas l'un des membres de l'Académie Française, il se peut donc qu'il y ait des erreurs de syntaxes voire, dans de plus faibles cas, de conjugaison, et ce, malgré les passages progressifs dans de nombreux correcteurs de texte.
Des incohérences sont possibles, mais je compte sur votre œil averti pour m'aider à les trouver et à corriger mon texte .

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Erys était un jeune garçon, orphelin, qui a vécu les premières années de sa vie dans la rue, avant d'être recueilli par une personne que le village entier nommait "Le Mage".
Erys grandit donc avec ce mystérieux homme, apprenant les arts du combat et la science de la vie.
Mais comme à chaque jour de fête, une cohorte au sombre dessein venait pour emporter hommes, femmes, enfants, qui ne revenaient jamais.

-{ Prologue }-​

Ouvrez les deux spoilers, un bug a divisé en deux le texte.

Les premiers rayons de l’aube illuminent mon visage tandis que je sors difficilement du monde des songes. J’ouvris les yeux, qui s’adaptèrent progressivement à la lumière qui traversait mon mince rideau. Je me levai alors de mon lit, ou tout du moins une simple paillasse à même le sol. J’ôtai mes habits de la nuit pour me vêtir de ma tunique de célébration, car aujourd’hui, c’est jour de fête à Kinnlock. Un mariage, m’a-t-on dit.

Je tirais alors le pan de cuir qui formait une mince frontière entre ma chambre et la pièce commune. Déjà l’odeur du potage en train de chauffer au-dessus du feu de l’âtre emplissait la maison. J’entrai alors lentement dans la salle principale et je ne fus guère surpris de m’y trouver seul, sans père ni mère, sans frères et soeurs.

J’étais orphelin. Autrefois, je faisais partie de cette bande de jeunes garçons qui allaient de portes en portes demander aumône. J’ai eut la chance d’être recueillit par un mystérieux homme, quelqu’un que le village entier surnommait “le Mage”.

C’était un homme d’un âge assez avancé. Il avait des yeux bleus intensément clairs qui juraient avec sa peau tannée par le soleil de Danuvia. Sa voix était très ferme, il était serein et calme en permanence et savait toujours comment il fallait réagir.

Tandis que j’avalais lentement le potage, j’entendais les rires et les paroles incessantes des habitants. Tous étaient heureux. C’était une ambiance particulière. Depuis mon enfance, je suis habitué aux insultes et railleries incessantes qui sont lancées dans les rues. J’en avais moi-même reçues. Mais quand les histoires, qui démarraient souvent de façon anodine et stupide, dépassaient le stade des mots, des bagarres éclataient. Et nombre de personnes sont mortes dans les rues par ces querelles inutiles.

Le Mage m’a enseigné quelques techniques de défense. Dans ces rues où le Mal rôdait en permanence, sauf les jours de fêtes, il était très utile de connaître quelques techniques de corps-à-corps.
Mes pensées revinrent alors sur le mariage. Qui était donc les heureux élus ?

Tandis que je me relevais pour ranger mon bol dans l’un des nombreux meubles qui constituaient la cuisine, un homme entra en trombe dans la maison, manquant d’arracher la porte en bois de ses gonds. Je le reconnus tout de suite ; c’était Roland, notre voisin. Il avait l’air affolé. Essoufflé, il dit :
“ - Les… les…”
Pas besoin qu’il ne m’en dise plus, je compris immédiatement. Les Gardes Noirs arrivaient. Décidément, ils restaient fidèles à leur réputation.
Je fis asseoir Roland sur un siège et lui laissa reprendre son souffle. J’écoutais attentivement les bruits de la rue, qui s’atténuaient progressivement. Les Gardes Noirs vont encore une fois choisir leur victime et l’emmener avec eux dans leur Antre.

Cette Antre, c’était le cauchemar des habitants de Kinnlock. Un grand nombre d’histoires étaient racontées à ce sujet. Néanmoins, ce que s’accordaient à dire tous les habitants, c’était que très peu de personnes ne revenaient de ce lieu inconnu.

Je courus rapidement vers la porte, que je refermai brusquement et en verrouillait les loquets. J’ai ensuite lancé à Roland :
“ - Monte à l’étage, et cache toi ! Je te rejoins.”
Il ne se fit pas prier et grimpa quatre par quatre les marches de l’abrupt escalier.

Au dehors, l’ambiance auparavant si festive se muait en une ambiance lourde et silencieuse. Je parti jeter un coup d’oeil au carreau et je vis que toutes les persiennes des fenêtres étaient fermées. J’entendais déjà le bruit caractéristique des lourds destriers des Gardes Noirs.

Tandis que je fermais tout à double tour, j’entendais Roland qui essayait désespérément de se trouver une cachette à l’étage. Une fois ma tâche accomplie, je ne tardai pas à le rejoindre.
En le voyant, recroquevillé du mieux qu’il pouvait dans un meuble au coin d’une des salles quelques peu désaffectées de l’étage, je ne pus m’empêcher de pouffer de rire. Roland grogna :
“ - Que se passe-t-il donc pour que tu ricanes comme ça ?”

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Poslovitch,

 

Voilà.
J'ai modifié le topic.

J'espère avoir bien répondu à toutes tes attentes.

 

Merci beaucoup des conseils.
J'en prends note et je tâcherai de fournir une nouvelle version bien plus développée et bien plus organisée.

Encore merci.

Mais sachez que je prends en note toutes les critiques, positives ou négatives, tant qu'elles sont constructives .