Intéressant, je ne m'y attendais pas alors je vais t'encourager :)
En gros je vais reprendre ton texte et te dire ce qu'il serait bien de modifier ou d'enlever tout simplement
Déjà, la cadre spatio-temporel me plait, donc un gros + personnel
ensuite, évite de trop utiliser "on", c'est un peu trop "fourre tout" et ça ne fait pas trop sérieux :/
bon on va utiliser un code couleur maintenant ce sera plus simple :)
Rouge : faute d'orthographe ou de grammaire
Bleu: Bon passage, peut être a approfondir
Vert: non sens et/ou maladresses d'écriture, zones a réécrire
Londres, 18 Juin 1854, le soleil était déjà haut dans le ciel, et aveuglait les quelques personnes qui étaient dans la rue, il faisait chaud, on suait et il était dur de travailler par une journée
pareil (pareille). Mais l'argent
les faisait(aient) avancer dans sa construction ( imprécis, qu'est ce qu'ils construisaient?Même si tu donne l'info plus tard dans le texte, si tout n'est pas donné dans l'ordre çà fait brouillon), et ce jour là, aux alentours de onze heures, les 13 personnes de l'équipe
avaient enfin fini l'immeuble du 26, Broken Street(bien pour la localisation, mais tu parle de travailler quelques lignes avant? Essaie de trouver une phrase avant pour expliquer ca). Pour s'en féliciter, ils décidèrent de faire un petit festin le soir même, dans l'immeuble qu'ils venaient de finir, au style Londonien -
briques rouges et de quelques étages seulement(bien mais mal écrit, trouve une autre tournure de phrase) -. Tout le monde rentra chez soi, et commença les préparatifs: thé, sucre, salades, viandes, pain, un peu de vin et quelques bières ainsi que des couverts et des assiettes.
17h, tout était
près(prêt), on amena de quoi faire une table (quelques planches sur des établis) et on y déposa une grande nappe blanche. On sorti tasses, cuillères, sucre, et différents thés, et une longue discussion s'en
suivis(je pense que c'est mal écrit, mais je ne connais pas l'orthographe correcte de ce mot dans ce cas de figure).
Aux alentours de 19h, on commença à préparer le festinCa c'est bien, les anglais mangent assez tôt par rapport a nous.Par contre ils font une sorte de goûter après le repas ou ils re consomment du thé et des biscuits, utilise cette info comme tu veux),on enlevait les tasses et le thé pour laisser place à des assiettes et des salades, on commença même à faire les premières grillades.
Milieu de repas(mal dit, introduit ça un peu mieux), tout le monde avait commencé à manger, certains s'étaient déjà resservis plusieurs fois, et on sorti le vin. Arriva la fin du repas, on avait le nez
rouge par le vin(très bien pour l'immersion mais mal formulé) et le ventre rempli par le festin,
la fin de la soirée se faisait sentir, on sorti les quelques bières restantes et les cigares commencèrent à briller. La Lune était pleine, elle brillait même tellement que les lumières étaient(remplace par "en étaient", ou "devenaient" c'est plus stylé) presque inutiles. La soirée était d'ailleurs chaude pour le mois, et cela engagea un sujet de conversation. La rue était encore illuminée par les lumières de maisons avoisinantes, et le bruit des sabots des voitures se faisaient encore entendre. Mais cela ne dura pas. Subitement, il n'y avait plus une seule lumière allumée, plus un bruit de sabot, les ampoules de l'immeuble éclatèrent les unes après les autres, et il n'y avait plus aucune trace de chaleur. Pourtant, il y a quelques instants... Un cri se fit entendre. On regarda autour de nous, personne n'était blessé. Un second cri. Une fois de plus, personne n'était blessé, nous étions tous là, les 11 constructeurs de l'immeuble... 11? Pourtant nous étions tous présents au festin... Pas de quoi s'alarmer, certains ont du partir entre-temps. Troisième cris. Nous n'étions plus que 10. Là, je commençait à me poser des questions... Un de plus. Et un autre. 8. Il était peut-être temps de s'alarmer... Un
cris(cri), puis deux, puis trois. 5. Les autres commençaient à comprendre, ils ruaient sur la porte. Panique générale. Puis, plus un seul bruit. Les lumières se rallumèrent, les sabots se firent à nouveaux entendre,
la chaleur revient(revint), et le voisinage s'anima à nouveau(non respect des temps la !!). Je m'habituais à nouveau à la lumière, mais il n'y avais personne. Je
décida(allez fais un effort xD) de rentrer chez moi, et d'essayer de comprendre ce qui s'était passé. J'ouvrit le porte, et je sentit quelque chose de froid sur mon front. Je me retournais. 12. Douze têtes, accrochées en dessous des fenêtres. Je n'étais le seul à les avoir vues, et la police arriva peu de temps après. Je leur
expliquer(booyah tu fatigue (expliquait )ce qui s'était passé, un couteau sanglant à la main... Je le vis. Eux aussi. Leur regard n'annonçait rien de bon, et mon souffle s'était arrêté. Je bafouillai, je ne savais pas quoi dire, moi-même je ne comprenais pas, mais ils ne voulaient rien entendre. Je
fut(fus) condamné à mort quatre jours plus tard, pour l'homicide de 12 personnes, que je n'avais, pourtant, jamais tuées...
Bien sinon j'apprécie l'idée, tu as fais des efforts ça se voit, ne prend pas cela comme une mauvaise critique mais comme quelque chose qui justement pourra t'aider :)
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