Texte RP: La lutte contre Orsia et la Destruction.

Bonjour,

Je vous propose ici un texte narrant l'épopée d'un groupe d'aventurier traversant un donjon.
Ce texte est l'origine d'une map aventure que je suis en train de réaliser.
Si ce texte est publié, je conseille de la faire en le découpant, comme vous pouvez le voir, il n'est pas encore achevé; pas d'inquiétudes, j'y travaille.

Prologue

La légende d'Orsiagri

Sur le continent de Lyn, avant la venue de la Destruction, il y avait un magicien appelé ORSIAGRI; il faisait partie des Maîtres de les magiciens et avais de grands pouvoirs.
Puis la guerre des Dieux commença. A part quelques manifestations climatiques, nul ne se doutait q'un gigantesque combat se déroulait. Seul, peut être, Orsiagri et quelques prêtres le surent, mais pour le magicien, ce savoir fut de courte durée, car il tomba dans un coma des plus profond et y demeura pendant milles ans.

Malgré l'assistance des plus grands guérisseurs et magiciens Orsiagri resta dans ce coma surnaturel.pourtant un matin, il se réveilla enfin, le combat des dieux était fini. Il avais dans le regard, une lueur puissante et étrange, et lorsqu'il parla se fut pour annoncer que la guerre des Dieux était momentanément finie et que la Destruction avait réussi à faire fuir l’Équilibre. Il ajouta que dorénavant son nom serai SAGRI et qu'il combattrai la Destruction jusqu’à sa mort. Les magiciens étonnés lui demandèrent la raison de ce changement d'identité et il leur raconta...
Que lors de son coma, tandis que la guerre des Dieux faisait rage, un autre combat se déroulait à l'intérieur de sa propre personne. Les deux puissances divines se disputaient son esprit et au moment de la victoire de la Destruction Orsiagri fut littéralement séparé en deux, une partie de lui même pris allégeance à la Destruction et l'autre resta fidèle à l’Équilibre dans son corps d'origine.

C'était une tactique éprouvée des Seigneurs de la Destruction pour créer des sorciers dévoués à leur cause en volant la puissance d'un magicien de haut niveau. Mais cette fois ci leur projet échoua en partie car LYNAIS, la déesse de l’Équilibre eut le temps, avant de s’enfuir, de protéger une partie de l'esprit d'Orsiagri.

C'est ainsi qu'un matin, le magicien se réveilla avec la sensation d'avoir été volé et celle plus rassurante, d'avoir récupérée une partie de ce vol. Il sut au même instant qu'un autre lui-même existait quelque part. Ce double avait emporté une partie de ses anciens pouvoirs et de son nom: il s'appelait ORSIA. Les deux images du magiciens se différenciaient pourtant, l'une avait les traits doux d'un homme bon et loyal, tandis que l'autre ceux d'un homme cruel et sournois.

Malgré sa puissance, Sagri ne pouvait détruire son double, la mort de l'un ne viendrait qu'avec la victoire totale des seigneurs de l'autre.
C'est ainsi que sur le continent de Lyn, le nom d'Orsia fût bientôt connu comme étant le plus dangereux serviteur de la Destruction et celui de Sagri comme le plus précieux défenseur de L’Équilibre.




Chapitre 1




Les aventuriers avaient parcouru une longue route depuis le matin. Le chef de la compagnie, Laris, était un mage du peuple des Monolithes. Ce peuple est sage et philosophe, les enfants baignent dans les croyances mystiques et la réflexion, les monolithes ne portent jamais d’armes mais ceux ci sont de redoutables combattants face à l’injustice. Laris leva la main et pris la parole d’un ton assuré. « Nous allons camper ici. Donnez moi vos gourdes, je vais aller les remplir »

Almina fut la première à laisser tomber son bagage sur le sol, elle s’allongea dans l’herbe fraîche et ferma les yeux. Almina était une jeune aventurière du peuple de la forêt. Comme chacun dans son peuple, elle est très sensible aux appels des animaux, elle est également une redoutable archère. Elle est vêtu d'une tenue de marche assez pratique au combat, un pantalon serre de lanières de cuir et une tunique en tissu léger couvrait une armure de cuir.

Iranin posa délicatement son sac sur le sol, l’ouvrit et en sortis le nécessaire pour préparer le repas.
Almina l’interrompis :
« laisse cela et attend le retour de Laris ; il faut de l’eau pour préparer le repas, l’herbe est d’une fraîcheur idéale »

Iranin caressa de sa main les épais brins d’herbe avant de s’allonger aux cotés de son frère d’arme. L’homme de la mer appréciait tout le monde, ne fermais jamais son sourire et il pouvais voir le bon coté de chaque situation désastreuse, ce qui avais tendance à énerver ses autres camarades. Sa peau semblais durci par les vents marins. Son regard était dur et ferme et sa voix imposante et autoritaire, il était né pour faire un capitaine, personne -sauf peut être Almina- ne sait ce qui l'a poussé à quitter son peuple.

La petite compagnie d’aventurier comptais également un jeune apprentis qui étudiais la magie aux cotés de Laris, ceux ci étaient très proche l’un de l’autre, ils avaient acquis ensemble la capacité de s’envoyer des informations par l’esprit. La télépathie permet d’envoyer des informations très rapidement ainsi, en combat, le jeune mage restait à l’arrière pour observer le combat d’une vue externe, de cette façon, il peut prévenir un autre d’un danger.

Les deux frères du peuple des Brigands voyageur étaient les derniers ayant rejoins l’aventure, Cayla et Bariol ne parlaient presque jamais, leur visage n’expriment jamais aucuns sentiments, ensemble, ils forment de redoutables combattants, ils manient la dague et la hache de lancer avec une incroyable dextérité, ils sont équipés d’un petit bouclier qu’ils portent dans le dos. La nuit, ils sont assis en tailleur face à face, les mains sur les genoux et méditent jusqu’au matin. Personne ne connais leur histoire mais Laris les à sauvés d’un trépas certain dans une crevasse du désert d’Isbur. Depuis, ils le suivent et combattent pour lui.

Pendant que Laris remplissait les gourdes dans le ruisseau, son jeune élève tentais d’allumer un feu magique, de la lumière bleu tournait autour du foyer sans jamais l’atteindre. Almina et Iranin dormais dans l’herbe sans se soucier de quoi que ce soit autour d’eux. Les deux brigands étaient partis dans la forêt à la recherche d’un rongeur à rôtir.

Cayla fut attiré vers un bosquet par un bruit, il s’en approcha lentement et en un éclair embrocha de sa dague un écureuil. Bariol quand à lui percevait un mouvement du coté d’un buisson broussailleux, il planta violemment sa hache dans le sol et du coté opposé balaya de sa main le buisson jusqu’à rencontrer un obstacle, il ferma sa main et tira brusquement un homme du buisson, celui ci n’exprimais aucune crainte, Bariol, de sa main valide sortis sa dague qui fut alors arraché de son emprise par un carreau d’arbalète. Cayla, sans un mot lâcha le rongeur capturé, il se jeta sur son frère et son otage pour les plonger dans les épaisses broussailles tout en se protégeant de son bouclier qui reçût un autre carreau d’arbalète. Les voyant sur la défensive et tenant son camarade en otage, le tireur sortis de sa cachette, son arme à la main. Les deux aventuriers se relevèrent, la main de Bariol tenant toujours fermement l’épaule de l’autre homme. Ils firent signe à l’étranger de les suivre et les amenèrent au campement.
Laris était revenu, Almina et Iranin s’étaient levés. Le magicien ne mis pas longtemps avant de reconnaître la Guilde des Espions, il demanda à ses camarade de les lâcher et leur présenta ses salutations.

Les deux espions les informèrent qu’ils les suivaient pour leur proposer une mission.
« Cette dernière est très dangereuse, elle pourra causer la mort de vos camarades »

La fabuleuse récompense de 2 millions d’unités ne firent pas hésiter les aventuriers, le but de la mission est de parvenir à s’introduire dans le domaine d’Orsia et de délivrer un membre de la guilde qui y est enfermé depuis quelques jours. Ce membre est d’une importance capitale pour la guilde mais ils ne précisèrent pas pourquoi. L’espion signale qu’un ancien souterrain permet d’accéder au domaine et qu’Orsia quittera son repaire accompagné d’une vingtaine de garde dans 10 jours exactement. C’est donc dans 10 jours qu’il faut agir mais on ne sais pas quand Orsia reviendra, il faudra faire donc le plus vite possible. Le souterrain est le seul moyen d’accéder au domaine, en effet son portail est fermé magiquement par Orsia chaque jour. Aux dires de l’Espion, ce souterrain n’est pas connu du sorcier. L’espion donne donc rendez vous aux aventuriers à la croisé des chemins situés à une vingtaine de kilomètres au sud-est de la grande foret dans 9 jours exactement.



Chapitre 2



Les deux espions les attendent. Les aventuriers sont emmenés en haut d'une petite colline boisée à quelques kilomètres de là, d'où on peut apercevoir une grande battisse en pierre grise. Seul le mur sud et le portail d'entrée sont visibles.

La nuit passe et au petit matin le portail s'ouvre pour laisser passer Orsia suivi d'une vingtaine de guerriers à cheval, armés jusqu'aux dents. A peine sortis, le portail se referme sans un bruit.
C'est le moment d'agir; les deux espions amènent les aventuriers au pied d'un immense chêne creux. Une sorte de puits munis d'une échelle s'enfonce dans le sol jusqu’à un souterrain qui mène tout droit au domaine. Ce souterrain à hauteur d'un homme, large d'un mètre et long de 400 m semble être d'une construction fort ancienne. Le sol est pavé et les parois sont renforcés de poutres de bois; de nombreuses toiles d'araignée laissent supposer qu'il n'a pas été emprunté depuis très longtemps.

Avant de quitter les aventuriers, les deux espions expliquent qu'il existe un moyen d'ouvrir le passage donnant sur le puits du château; arrivé au mur qui le ferme, il faut appuyer sur la seconde pierre à droite en partant du haut. Ils ajoutent qu'ils resteront sur la petite colline pendant une journée entière en attendant leur retour, passé ce délai, ils repartiront chercher un autre groupe d'aventurier pour accomplir cette mission...
Laris questionna les espions; ceux ci ne savaient pas combien d'habitants, de militaires ou d'esclaves comptait le château mais d'après les denrées alimentaires amenés chaque semaines, ils l'évaluent à une trentaine de personnes. Un détail est resté inexpliqué; à chaque livraisons d'énormes quantités de viandes sont amenés...
C'est sans trop de mal que les aventuriers parcoururent le souterrain, arrivés au bout du couloir de 400 m, ils appuyèrent sur la seconde pierre et déclencha un mécanisme, au bruit, celui ci était très complexe, une porte en pierre s'ouvra dans le fond du puits, à quelques mètres de l'eau. Au dessus d'eux, les aventuriers voient une échelle métallique scellée dans la paroi du puits. Celui ci est de diamètre de 1 m, son orifice de sorti est situé une dizaine de mètres plus haut.

Laris s'engagea en premier, suivi d'Iranin, d'Almina, du jeune apprenti et des deux brigands. arrivé à la moitié, Bariol glissa et tomba, emportant dans sa chute son frère, ils prirent soin de ne pas pousser de cri et réussir à se rattraper juste avant de toucher l'eau. Par chance personne n'avais fait le moindre bruit, ils remontèrent plus lentement. Laris passa la tête au dehors; la cour interieur fait 20 m de coté et à la forme d'un carré tronqué par une récente construction en bois. Le chef de la troupe devina sans mal qu'il s'agissait des écuries, on y entre par une grande porte à deux battants fermés. Le sol est en terre battue, de mauvaises herbes permettent de deviner quels sont les coins les moins fréquentés. Les murs sont fait de la même pierre grise que l'ensemble du domaine. Des meurtrières sont aménagés tout les cinq mètres, et il n'y a aucunes fenêtres. Les deux seuls portes visibles, à l’exception de celles de l'écurie, se trouvent dans le mur sud. L'une est imposante, faite d'une sorte de métal noir avec la lettre O tracé en rouge sur son centre, elle ne comporte aucune poignée et les particules mauves font deviner au magicien qu'elle est fermée magiquement par le sorcier. La seconde porte est d'un aspect plus banale, bien qu'étant également à deux battants, et est située en haut d'un escalier. L'un des battants est très légèrement entrouvert, elle comporte une serrure et deux poignée comme une porte classique.

Laris décrivis ce qu'il voie à ses compagnons. Ils décidèrent qu'il était inutile de passer par l'écurie, et qu'ouvrir la porte noir magiquement ou mécaniquement était impossible. Les aventuriers conclurent qu'ils ne pouvaient entrer dans le domaine que par la porte en bois en haut des escaliers. Ils se glissèrent furtivement hors du puits, hormis Bariol qui se cogna violament la tête contre le seau qui pendait au dessus de la cavité. Son frère fit rapidement taire le seau métallique et aucuns mouvement à l’intérieur du chanteau n'indiqua qu'ils avaient été repérés. Ils traversèrent la cour jusqu’à à la porte, ils entrèrent sur leurs gardes. La salle était une pièce de 5x7 m meublée d'une armoire et d'un coffre. A leur droite, un escalier mène à une porte, on remarque une autre porte dans le mur d'en face mais au niveau du sol. Dans l'armoire, les aventuriers ne trouvèrent que des vêtements divers sans valeurs, le coffre quant à lui contenait des paires de chaussons genre chaussettes en feutrine au nombre de 16, 4 paires rouges, autant de jaunes, de vert et de bleu. Le jeune apprenti affirma qu'ils s'agissait de chaussons magiques. Laris le compléta disant que ceux ci sont principalement utilisés sur des types de sols particuliers comme des sables mouvant ou permettant de marcher sur l'eau.
Iranin pendant que ses compagnons essayaient les chaussons, monta l'escalier discrètement. malgré l'épaisse porte en bois massif, il entendais les rires bruyant de deux soldats jouant aux cartes. il réitéra l'opération sur la porte d'en face mais n'entendis rien. Les aventuriers, une fois amusés et les chaussons rangés dans leur sac décidèrent de ne pas combattre tout de suite les gardes. Cayla et Bariol protestèrent énergiquement sortant leurs armes mais Laris leur expliqua que si les gardes donnait l'alerte, s'en était finis d'eux et de la récompense.

Ils entrèrent donc dans la seconde salle, le sol était pavé de la même pierre grise, c'est une salle de 5x5 m complètement vide à l’exception d'un grand fauteuil en pierre et d'un signe gravé au centre de la pièce. Le signe était un losange d'un mètre de large avec un rond noir dans son centre. Bariol, pressé d’essayer ce fauteuil affirmant qu'il était magique et les téléportera traversa le signe, fut stoppé net dans sa course et fut projeté au plafond. Lors du choc, toutes ses affaires tombèrent au sol mais à peine avait elle touchés le losange qu'elles étaient lancés au plafond. Une fois en haut Bariol sentit la gravité revenir et s'écrasa sur le sol, entre temps, son bouclier était arrivé en haut et retomba sur son crane alors que lui remontait à toute vitesse. Cayla fut d'abord amusé par son frère se balançant de haut en bas et crachant plus de jurons qu'il n'en connaissait, Almina saisi rapidement son arc et attrapa le pied de son camarade avec, elle l'attira hors du cercle infernale, Bariol, épuisé s'allongea par terre. Il récupéra ses affaires prenant soin de ne pas toucher le losange et le contourna pour accéder au grand fauteuil de pierre travaillé avec soin. Il s'assit dessus mais rien ne se passa. Il cria un ultime juron avant de se relever.

On accédais à la salle suivante par une simple porte en bois...

 

Effectivement. je suis le co-auteur de ce texte, le second auteur étant quentin, mon petit ami, pour faire simple. Il peut prouver cela de n'importe quelle manière.
On à décidé de partager ce texte ensemble, lui sur le serveur et moi ici.

La conclusion est que selon les support, ou lui ou moi est l'auteur.

Le texte entier est exactement le même que sur les liens donnés par Seblor; ils sont seulement séparés en deux textes.

 

En réponse à ta remarque Elliotau78, je ne vais pas réécrire ce texte. En revanche, je vais tenir compte de ton conseil pour la suite.
A noter qu'avant que tu ne réponde, j'ai écrit un autre chapitre que je ne publierai que si le texte est accepté.
Pour les intérréssés, il est disponible sur ce lien:

Attention: lien menant à un forum d'un serveur. Si je n'ai pas le droit de mettre ce lien editez mon post.

https://craftasia.fr/forum/bibliotheque/orsia-lattaque