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Le jeu du texte RP

Discussion dans 'Jeux du forum' créé par Vrankiel, 8 Fev 2014.

  1. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Explications ET règles
    Ce jeu ressemble a la phrase sans fin mais n'a pas les mêmes règles . C'est une histoire cohérente avec "un fil rouge" dont vous êtes le héros . Il vous faut donc vous inventer un personnage imaginaire avec une personnalité et un passé . Par exemple avant cette aventure , vous étiez un voleur depuis le plus jeune car vous avez été jeté a la rue a la mort de votre mère par votre beau-père qui ne vous aimait guère . Vous êtes donc débrouillard , ne savez pas lire et écrire et n'avez connu que la dure loi de la rue .
    En résumé ,Tour a tour vous écrivez un paragraphe qui fait avancer le récit en faisant apparaitre des personnages , des monstres , des péripéties etc....
    Le prochain qui poste débute l'histoire du RP .
     
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  2. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j'étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte.
     
  3. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Dès ma plus tendre enfance, j'étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J'appris a voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands , a détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison.

    Noir = ce qui précède
    Bleu= ce que j'ai ajouté
     
    #3 Vrankiel, 8 Fev 2014
    Dernière édition: 8 Fev 2014
  4. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    PS : Je me permets de corriger l'orthographe à chaque fois que je poste, ainsi que la conjugaison, etc.

    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison.
     
  5. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais a dérober une lame pour mieux me défendre .
     
  6. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m'écrasaient, dominer ces rats des égouts !
     
  7. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m'écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein ,en subtilisant un poignard a un armurier , il m'avait vu et il appela la garde .Je réussis a m'enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché mais un coup de sort fit que je percuta un garde . Le choc fut violent ; je m'assommait salement et avait le visage en sang . Au réveil , je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l'eau .
     
  8. Saphir88

    Saphir88 Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m'écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein ,en subtilisant un poignard a un armurier , il m'avait vu et il appela la garde .Je réussis a m'enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché mais un coup de sort fit que je percuta un garde . Le choc fut violent ; je m'assommait salement et avait le visage en sang . Au réveil , je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l'eau .

    << Alors, voleur ! Tu n'as que ça à faire de tes journées ? Me dit un garde en me réveillant.
    Je ne répondis pas à sa provocation. Puis il poursuivit d'une voix rauque :
    - Tu sais ce que l'on fait à des voleurs comme toi ? On leur coupe les mains ! >>
    Il partit un peu plus loin en riant à gorge déployée.
    Je repensais à ce que j'ai fait, c'était vraiment le vol de trop. Je m’efforçai alors à manger le seul bout de pain rassis et le bol d'eau qui m'avait été donné. Puis je me rendormis aussi vite en attendant mon triste sort qui m'était réservé.
     
  9. vanlong [Fukushimiste]

    vanlong [Fukushimiste] Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m'écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein ,en subtilisant un poignard a un armurier , il m'avait vu et il appela la garde .Je réussis a m'enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché mais un coup de sort fit que je percuta un garde . Le choc fut violent ; je m'assommait salement et avait le visage en sang . Au réveil , je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l'eau .
    << Alors, voleur ! Tu n'as que ça à faire de tes journées ? Me dit un garde en me réveillant.
    Je ne répondis pas à sa provocation. Puis il poursuivit d'une voix rauque :
    - Tu sais ce que l'on fait à des voleurs comme toi ? On leur coupe les mains ! >>
    Il partit un peu plus loin en riant à gorge déployée.
    Je repensais à ce que j'ai fait, c'était vraiment le vol de trop. Je m’efforçai alors à manger le seul bout de pain rassis et le bol d'eau qui m'avait été donné. Puis je me rendormis aussi vite en attendant mon triste sort qui m'était réservé.
    Deux mains me menottèrent et on m'emmena vers la place centrale du village. La plèbe me crachait au visage, on me traînait telle une bête et on arriva finalement à cette place. Un billot s'y trouvait au centre. Un garde s'écria :
    "Regardez, regardez ce voleur, voyez cet être impur, nous allons le purifier de ses actes ! A présent, je vous le dis : Quiconque osera voler une pomme aura la main coupée" Le garde me murmura à l'oreille :
    "Sois heureux que nous te purifions aujourd'hui pour tes méfaits" alors le garde sortir son épée de son fourreau et la leva.
     
  10. Nolan-XX

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    On coupe des têtes sur un billot, pas des mains ! Les mains coupés c'est directement après le méfait, pas de nuit en prison ...
     
  11. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c'était la loi du plus fort . Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m'attirerait ; j'observais les forgerons travailler le métal chaud le soir . Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m'écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein ,en subtilisant un poignard a un armurier , il m'avait vu et il appela la garde .Je réussis a m'enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché mais un coup de sort fit que je percuta un garde . Le choc fut violent ; je m'assommait salement et avait le visage en sang . Au réveil , je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l'eau .
    << Alors, voleur ! Tu n'as que ça à faire de tes journées ? Me dit un garde en me réveillant.
    Je ne répondis pas à sa provocation. Puis il poursuivit d'une voix rauque :
    - Tu sais ce que l'on fait à des voleurs comme toi ? On leur coupe les mains ! >>
    Il partit un peu plus loin en riant à gorge déployée.
    Je repensais à ce que j'ai fait, c'était vraiment le vol de trop. Je m’efforçai alors à manger le seul bout de pain rassis et le bol d'eau qui m'avait été donné. Puis je me rendormis aussi vite en attendant mon triste sort qui m'était réservé. Deux mains me menottèrent et on m'emmena vers la place centrale du village. La plèbe me crachait au visage, on me traînait telle une bête et on arriva finalement à cette place. Un billot s'y trouvait au centre. Un garde s'écria :
    "Regardez, regardez ce voleur, voyez cet être impur, nous allons le purifier de ses actes ! A présent, je vous le dis : Quiconque osera voler une pomme aura la main coupée" Le garde me murmura à l'oreille :
    "Sois heureux que nous te purifions aujourd'hui pour tes méfaits" alors le garde sortir son épée de son fourreau et la leva.

    L'épée ne s'abattit jamais . Et je n'oublia jamais ce bienfaiteur qui sauva mes mains ce jour-là. C'était le tavernier du Canard flamboyant qui avait pris pitié de moi , il s'appelait Bertrand . Le garde fut payé 20 pièces d'argent en échange de quoi il me laissait a l'aubergiste en avec la promesse que je ne volerais plus jamais . Le brave tenancier m'emmena a son établissement en me demandant mon nom hélas je l'avais oublié après ces années dans la rue . Il me donna le nom de Selethen et me raconta que son épouse et lui avait toujours voulu des enfants mais il semblait qu'elle était stérile alors ils adoptaient de malheureux orphelin obligé de voler pour survivre et sauvait des enfants du terrible sort qu'est d'avoir les mains coupés. Ce châtiment terrible avait été instauré il y a peu près dix ans par le seigneur de la cité ,Grodeg dont on ne disait pas que du bien .

    Nolan , il peut exister des billots spécial pour les mains . Il faut aussi remarquer que c'est un châtiment exemplaire destiné a faire passer un message aux voleurs et ceux qui aurait cette tentation .
     
    #11 Vrankiel, 9 Fev 2014
    Dernière édition: 9 Fev 2014
  12. vanlong [Fukushimiste]

    vanlong [Fukushimiste] Mineur de Redstone

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    Un billot est un tronçon de bois même si moi aussi j'avais l'idée en tête que le billot était un tronçon de bois pour couper les têtes, non c'est juste un tronçon de bois où on découpe de la viande ou du bois :)
     
  13. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c’était la loi du plus fort. Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m’attireraient ; j’observais les forgerons travailler le métal chaud le soir. Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m’écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein, en subtilisant un poignard a un armurier, il m’avait vu et il appela la garde. je réussis a m’enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché, mais un coup de sort fit que je percutai un garde. Le choc fut violent ; je m’assommais salement et avait le visage en sang. Au réveil, je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l’eau.
    << Alors, voleur ! Tu n’as que ça à faire de tes journées ? me dit un garde en me réveillant.
    Je ne répondis pas à sa provocation. Puis il poursuivit d’une voix rauque :
    — Tu sais ce que l’on fait à des voleurs comme toi ? On leur coupe les mains ! >>
    Il partit un peu plus loin en riant à gorge déployée.
    Je repensais à ce que j’ai fait, c’était vraiment le vol de trop. Je m’efforçais alors à manger le seul bout de pain rassis et le bol d’eau qui m’avait été donné. Puis je me rendormis aussi vite en attendant mon triste sort qui m’était réservé. Deux mains me menottèrent et on m’emmena vers la place centrale du village. La plèbe me crachait au visage, on me traînait telle une bête et on arriva finalement à cette place. Un billot s’y trouvait au centre. Un garde s’écria :
    "Regardez, regardez ce voleur, voyez cet être impur, nous allons le purifier de ses actes ! A présent, je vous le dis : Quiconque osera voler une pomme aura la main coupée" Le garde me murmura à l’oreille :
    "Sois heureux que nous te purifiions aujourd’hui pour tes méfaits" alors le garde sortit son épée de son fourreau et la leva.

    L’épée ne s’abattit jamais. Et je n’oubliai jamais ce bienfaiteur qui sauva mes mains ce jour-là. C’était le tavernier du Canard flamboyant qui avait pris pitié de moi, il s’appelait Bertrand. Le garde fut payé 20 pièces d’argent en échange de quoi il me laissait a l’aubergiste en avec la promesse que je ne volerais plus jamais. Le brave tenancier m’emmena a son établissement en me demandant mon nom, hélas je l’avais oublié après ces années dans la rue. Il me donna le nom de Selethen et me raconta que son épouse et lui avait toujours voulu des enfants, mais il semblait qu’elle était stérile alors ils adoptaient de malheureux orphelins obliger de voler pour survivre et sauvait des enfants du terrible sort qu’est d’avoir les mains coupées. Ce châtiment terrible avait été instauré il y à peu près dix ans par le seigneur de la cité, Grodeg dont on ne disait pas que du bien.



    J’avais appris à manier l’épée comme un Seigneur, à briser les os comme un barbare, à me déplacer comme un voleur, tout cela grâce à mon père adoptif. Je travaillais pour lui dans son auberge, je servais les ivrognes qui venaient remplir leurs panses de bière et de lards. Bien des bagarres se déroulaient dans cette auberge moisie que je haïssais, et à chaque fois je devais montrer mes muscles pour faire déguerpir ces vermines.
    Cependant, durant une fraîche nuit d’hiver, un garde était rentré dans l’auberge et s’était assis à une table afin de commander une boisson alcoolisée avec un morceau de bœuf bien saignant. Une fois son repas fini, il s’était levé et approché du bar, il me fixait avec ses deux yeux jaunis par l’alcool, puis il me dit :
    "Toi, j’te reconnais ! Sal*perie d'gamin, j’devais t'couper l'deux saucisses qui t'servent de bras ! J’vais t'couper les guiboles !!!"
    Il sauta sur moi, un couteau à la main, et il le planta dans ma jambe, et encore une fois, une seconde fois, une troisième fois, jusqu’à que ma jambe ne soit plus qu’un morceau de viande troué. Le sang jaillissait de mes plaies béantes, m’affaiblissant encore plus, je ne pouvais bouger, j’étais paralysé par la peur et la douleur...

     
  14. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    J’avais appris à manier l’épée comme un Seigneur, à briser les os comme un barbare, à me déplacer comme un voleur, tout cela grâce à mon père adoptif. Je travaillais pour lui dans son auberge, je servais les ivrognes qui venaient remplir leurs panses de bière et de lards. Bien des bagarres se déroulaient dans cette auberge moisie que je haïssais, et à chaque fois je devais montrer mes muscles pour faire déguerpir ces vermines.
    Cependant, durant une fraîche nuit d’hiver, un garde était rentré dans l’auberge et s’était assis à une table afin de commander une boisson alcoolisée avec un morceau de bœuf bien saignant. Une fois son repas fini, il s’était levé et approché du bar, il me fixait avec ses deux yeux jaunis par l’alcool, puis il me dit :
    "Toi, j’te reconnais ! Sal*perie d'gamin, j’devais t'couper l'deux saucisses qui t'servent de bras ! J’vais t'couper les guiboles !!!"
    Il sauta sur moi, un couteau à la main, et il le planta dans ma jambe, et encore une fois, une seconde fois, une troisième fois, jusqu’à que ma jambe ne soit plus qu’un morceau de viande troué. Le sang jaillissait de mes plaies béantes, m’affaiblissant encore plus, je ne pouvais bouger, j’étais paralysé par la peur et la douleur. Il fallut l'intervention de Bertrand pour faire cesser le garde ivre : il l'assomma proprement avant de retirer le couteau de la plaie la plus horrible que j'avais vue dans cette taverne . Il m'emmena chez l'apothicaire le plus proche dont le verdict fut formel ; on devait amputer la jambe ou utiliser la magie pour soigner la blessure . Je tenais a mes jambes alors je choisis la seconde option ,on fit venir un de ces mystérieux enchanteurs aux grands pouvoirs . Il me guérit presque totalement ; il laissa seulement fine plaie que l'apothicaire pouvait suturer . Malgré toute sa puissance , il était épuisé au bord de l'inconscience apparemment les magiciens avaient des limites .
     
  15. kikoosmile

    kikoosmile Explorateur

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    J’avais appris à manier l’épée comme un Seigneur, à briser les os comme un barbare, à me déplacer comme un voleur, tout cela grâce à mon père adoptif. Je travaillais pour lui dans son auberge, je servais les ivrognes qui venaient remplir leurs panses de bière et de lards. Bien des bagarres se déroulaient dans cette auberge moisie que je haïssais, et à chaque fois je devais montrer mes muscles pour faire déguerpir ces vermines.
    Cependant, durant une fraîche nuit d’hiver, un garde était rentré dans l’auberge et s’était assis à une table afin de commander une boisson alcoolisée avec un morceau de bœuf bien saignant. Une fois son repas fini, il s’était levé et approché du bar, il me fixait avec ses deux yeux jaunis par l’alcool, puis il me dit :
    "Toi, j’te reconnais ! Sal*perie d'gamin, j’devais t'couper l'deux saucisses qui t'servent de bras ! J’vais t'couper les guiboles !!!"
    Il sauta sur moi, un couteau à la main, et il le planta dans ma jambe, et encore une fois, une seconde fois, une troisième fois, jusqu’à que ma jambe ne soit plus qu’un morceau de viande troué. Le sang jaillissait de mes plaies béantes, m’affaiblissant encore plus, je ne pouvais bouger, j’étais paralysé par la peur et la douleur. Il fallut l'intervention de Bertrand pour faire cesser le garde ivre : il l'assomma proprement avant de retirer le couteau de la plaie la plus horrible que j'avais vue dans cette taverne . Il m'emmena chez l'apothicaire le plus proche dont le verdict fut formel ; on devait amputer la jambe ou utiliser la magie pour soigner la blessure . Je tenais a mes jambes alors je choisis la seconde option ,on fit venir un de ces mystérieux enchanteurs aux grands pouvoirs . Il me guérit presque totalement ; il laissa seulement fine plaie que l'apothicaire pouvait suturer . Malgré toute sa puissance , il était épuisé au bord de l'inconscience apparemment les magiciens avaient des limites. Ma gratitude m'obligeait à aider ce mage qui ne donnait plus un seul signe de vie. Deux jours d'attente, et je restais encore et toujours à son chevet, espérant le voir revivre, pour effacer partiellement cette culpabilité qui me ronge de minutes en minutes. Cela fait deux jours que je subit silencieusement cette torture morale. Je me resolvais enfin à me lever, mais pas pour changer d'air et penser à autre chose, loin de là. Je me dirigeais d'un pas décidé à la bibliothèque : j'espérais trouver de vieilles encyclopédies sur les magiciens, pouvant résoudre ces énigmes de la magie et de son prix. Car lorsque l'on a à user de la magie, il y a toujours un prix à payer.
     

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