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Le jeu du texte RP

Discussion dans 'Jeux du forum' créé par Vrankiel, 8 Fev 2014.

  1. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    Dès ma plus tendre enfance, j’étais seul, abandonné par mes proches avec pour seul ami la rue qui restait mon plus grand ennemi, ma crainte. J’apprenais à voler des fruits et des légumes sur les étalages des marchands, à détrousser les passants parfois en manquant de me faire attraper par une patrouille de la garnison. Je survivais à une mort voisine, sentant son haleine fétide contre mes joues, une odeur de décomposition avancée, mais malgré cette fin certaine je continuais à vouloir vivre, même si j’étais rempli d’une tristesse qui emplissait mon cœur comme un poison. Je devais me battre avec les autres enfants des rues pour conserver les maigres fruits de mes rapines ; c’était la loi du plus fort. Malgré cette lutte constante pour survivre, les armes m’attireraient ; j’observais les forgerons travailler le métal chaud le soir. Je songeais à dérober une lame pour mieux me défendre.
    Je voulais persévérer, suivre ma route comme je le voulais, écraser ceux qui m’écrasaient, dominer ces rats des égouts !
    Je commis le vol de trop pour réaliser ce dessein, en subtilisant un poignard a un armurier, il m’avait vu et il appela la garde. je réussis a m’enfuir non sans avoir renversé les étalages du marché, mais un coup de sort fit que je percutai un garde. Le choc fut violent ; je m’assommais salement et avait le visage en sang. Au réveil, je me retrouvais dans une cellule mis au pain et a l’eau.
    << Alors, voleur ! Tu n’as que ça à faire de tes journées ? me dit un garde en me réveillant.
    Je ne répondis pas à sa provocation. Puis il poursuivit d’une voix rauque :
    — Tu sais ce que l’on fait à des voleurs comme toi ? On leur coupe les mains ! >>
    Il partit un peu plus loin en riant à gorge déployée.
    Je repensais à ce que j’ai fait, c’était vraiment le vol de trop. Je m’efforçais alors à manger le seul bout de pain rassis et le bol d’eau qui m’avait été donné. Puis je me rendormis aussi vite en attendant mon triste sort qui m’était réservé. Deux mains me menottèrent et on m’emmena vers la place centrale du village. La plèbe me crachait au visage, on me traînait telle une bête et on arriva finalement à cette place. Un billot s’y trouvait au centre. Un garde s’écria :
    "Regardez, regardez ce voleur, voyez cet être impur, nous allons le purifier de ses actes ! A présent, je vous le dis : Quiconque osera voler une pomme aura la main coupée" Le garde me murmura à l’oreille :
    "Sois heureux que nous te purifiions aujourd’hui pour tes méfaits" alors le garde sortit son épée de son fourreau et la leva.

    L’épée ne s’abattit jamais. Et je n’oubliai jamais ce bienfaiteur qui sauva mes mains ce jour-là. C’était le tavernier du Canard flamboyant qui avait pris pitié de moi, il s’appelait Bertrand. Le garde fut payé 20 pièces d’argent en échange de quoi il me laissait a l’aubergiste en avec la promesse que je ne volerais plus jamais. Le brave tenancier m’emmena a son établissement en me demandant mon nom, hélas je l’avais oublié après ces années dans la rue. Il me donna le nom de Selethen et me raconta que son épouse et lui avait toujours voulu des enfants, mais il semblait qu’elle était stérile alors ils adoptaient de malheureux orphelins obliger de voler pour survivre et sauvait des enfants du terrible sort qu’est d’avoir les mains coupées. Ce châtiment terrible avait été instauré il y à peu près dix ans par le seigneur de la cité, Grodeg dont on ne disait pas que du bien.

    J’avais appris à manier l’épée comme un Seigneur, à briser les os comme un barbare, à me déplacer comme un voleur, tout cela grâce à mon père adoptif. Je travaillais pour lui dans son auberge, je servais les ivrognes qui venaient remplir leurs panses de bière et de lards. Bien des bagarres se déroulaient dans cette auberge moisie que je haïssais, et à chaque fois je devais montrer mes muscles pour faire déguerpir ces vermines.
    Cependant, durant une fraîche nuit d’hiver, un garde était rentré dans l’auberge et s’était assis à une table afin de commander une boisson alcoolisée avec un morceau de bœuf bien saignant. Une fois son repas fini, il s’était levé et approché du bar, il me fixait avec ses deux yeux jaunis par l’alcool, puis il me dit :
    "Toi, j’te reconnais ! Sal*perie d'gamin, j’devais t'couper l'deux saucisses qui t'servent de bras ! J’vais t'couper les guiboles !!!"
    Il sauta sur moi, un couteau à la main, et il le planta dans ma jambe, et encore une fois, une seconde fois, une troisième fois, jusqu’à que ma jambe ne soit plus qu’un morceau de viande troué. Le sang jaillissait de mes plaies béantes, m’affaiblissant encore plus, je ne pouvais bouger, j’étais paralysé par la peur et la douleur. Il fallut l'intervention de Bertrand pour faire cesser le garde ivre : il l'assomma proprement avant de retirer le couteau de la plaie la plus horrible que j'avais vue dans cette taverne . Il m'emmena chez l'apothicaire le plus proche dont le verdict fut formel ; on devait amputer la jambe ou utiliser la magie pour soigner la blessure . Je tenais a mes jambes alors je choisis la seconde option ,on fit venir un de ces mystérieux enchanteurs aux grands pouvoirs . Il me guérit presque totalement ; il laissa seulement fine plaie que l'apothicaire pouvait suturer . Malgré toute sa puissance , il était épuisé au bord de l'inconscience apparemment les magiciens avaient des limites. Ma gratitude m'obligeait à aider ce mage qui ne donnait plus un seul signe de vie. Deux jours d'attente, et je restais encore et toujours à son chevet, espérant le voir revivre, pour effacer partiellement cette culpabilité qui me ronge de minutes en minutes. Cela fait deux jours que je subit silencieusement cette torture morale. Je me resolvais enfin à me lever, mais pas pour changer d'air et penser à autre chose, loin de là. Je me dirigeais d'un pas décidé à la bibliothèque : j'espérais trouver de vieilles encyclopédies sur les magiciens, pouvant résoudre ces énigmes de la magie et de son prix. Car lorsque l'on a à user de la magie, il y a toujours un prix à payer.


    Je pensais que le prix à payer serait sa mort, mais je me trompais lourdement, car la magie est capricieuse, tordue. Je rentrais chez moi après ne rien avoir trouvé dans cette bibliothèque remplie de poussières datant d’il y a des siècles. Une fois arrivé dans ma chambre, j’enlevais mon pantalon afin d’apercevoir ma plaie, au lieu d’y avoir cette plaie béante, il ne restait plus qu’une petite cicatrice quasiment invisible à l’œil nu. Je souriais, ma jambe n’était pas perdue, mais le mage oui, c’est alors que je me suis dit que je méritais bien plus de vivre que lui, j’étais orphelin et lui magicien, il avait tout, moi rien, alors qu’il meurt ce salaud !
    Il m’avait tout volé, il voulait que je culpabilise, quel enfant de chien qu’il était !
    Je me dirigeais vers sa chambre, là où ma mère adoptive le soignait, avant cela j’étais allé dans la cuisine afin d’y prendre une lame acérée, j’ouvrais sa porte, le regardais étendu, gémissant de douleur, puis je m’approchais de lui, me penchais et assénais mon couteau au milieu de son torse, je laissais le couteau et retournais dans ma chambre tout en souriant.

     
  2. kikoosmile

    kikoosmile Explorateur

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    Je pensais que le prix à payer serait sa mort, mais je me trompais lourdement, car la magie est capricieuse, tordue. Je rentrais chez moi après ne rien avoir trouvé dans cette bibliothèque remplie de poussières datant d’il y a des siècles. Une fois arrivé dans ma chambre, j’enlevais mon pantalon afin d’apercevoir ma plaie, au lieu d’y avoir cette plaie béante, il ne restait plus qu’une petite cicatrice quasiment invisible à l’œil nu. Je souriais, ma jambe n’était pas perdue, mais le mage oui, c’est alors que je me suis dit que je méritais bien plus de vivre que lui, j’étais orphelin et lui magicien, il avait tout, moi rien, alors qu’il meurt ce salaud !
    Il m’avait tout volé, il voulait que je culpabilise, quel enfant de chien qu’il était !
    Je me dirigeais vers sa chambre, là où ma mère adoptive le soignait, avant cela j’étais allé dans la cuisine afin d’y prendre une lame acérée, j’ouvrais sa porte, le regardais étendu, gémissant de douleur, puis je m’approchais de lui, me penchais et assénais mon couteau au milieu de son torse, je laissais le couteau et retournais dans ma chambre tout en souriant.
    Des cris d'agonies se firent entendre quelques secondes, puis plus rien. Il était simple d'en déduire qu'il était enfin mort cet enfoiré ! Un mois plus tard, j'étais persuadé que plus personne n'entendrait parler de lui, mais entre ce que je pense et ce qui est vrai... une nuit paisible et banale, je rêvais de choses belles et de ce que je voudrais dans un futur proche ou lointain. Oh ! Un petit drufle ! Cette petite bête inoffensive le jour aux air de hamster, pouvant atteindre la taille d'un lapin ! Mais la nuit, il se transformer en ce que nous craignons le plus, au fond de nous même. Il se promenait dans un champs immense quand vint la nuit... Le petit drufle prit la forme d'un humain, de la barbe poussait, un chapeau apparut. Au bout de cinq longues minutes, je puis reconnaître ce qu'il était. Était-ce lui que je craignais le plus ?
    "- Tu sais quand utilisant la magie, il y a un prix à payer. Je savais que je m'épuiserait, et j'espérais que tu puisses m'aider et être reconnaissant en vers ce sacrifice. Voilà le prix de ce sort ! L'espoir ! Mais tu ne semblais pas vouloir contribuer à ce prix, alors te voilà puni, il n'y a rien eu en échange de ce sort, il s'annulera donc. Si tu tiens à ta jambe, il te faudra me ressuciter en suivant mes ordres. Quand tu te reveilleras, la cicatrice commencera à réapparaître. Es-tu prêt à te lancer dans une quête ?"
    Il disparut, et ne revit plus le drufle. Arriva ensuite le réveil...
     
  3. 1blackjack1

    1blackjack1 Mineur de Redstone

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    Je pensais que le prix à payer serait sa mort, mais je me trompais lourdement, car la magie est capricieuse, tordue. Je rentrais chez moi après ne rien avoir trouvé dans cette bibliothèque remplie de poussières datant d’il y a des siècles. Une fois arrivé dans ma chambre, j’enlevais mon pantalon afin d’apercevoir ma plaie, au lieu d’y avoir cette plaie béante, il ne restait plus qu’une petite cicatrice quasiment invisible à l’œil nu. Je souriais, ma jambe n’était pas perdue, mais le mage oui, c’est alors que je me suis dit que je méritais bien plus de vivre que lui, j’étais orphelin et lui magicien, il avait tout, moi rien, alors qu’il meurt ce salaud !
    Il m’avait tout volé, il voulait que je culpabilise, quel enfant de chien qu’il était !
    Je me dirigeais vers sa chambre, là où ma mère adoptive le soignait, avant cela j’étais allé dans la cuisine afin d’y prendre une lame acérée, j’ouvrais sa porte, le regardais étendu, gémissant de douleur, puis je m’approchais de lui, me penchais et assénais mon couteau au milieu de son torse, je laissais le couteau et retournais dans ma chambre tout en souriant.
    Des cris d'agonies se firent entendre quelques secondes, puis plus rien. Il était simple d'en déduire qu'il était enfin mort cet enfoiré ! Un mois plus tard, j'étais persuadé que plus personne n'entendrait parler de lui, mais entre ce que je pense et ce qui est vrai... une nuit paisible et banale, je rêvais de choses belles et de ce que je voudrais dans un futur proche ou lointain. Oh ! Un petit drufle ! Cette petite bête inoffensive le jour aux air de hamster, pouvant atteindre la taille d'un lapin ! Mais la nuit, il se transformer en ce que nous craignons le plus, au fond de nous même. Il se promenait dans un champs immense quand vint la nuit... Le petit drufle prit la forme d'un humain, de la barbe poussait, un chapeau apparut. Au bout de cinq longues minutes, je puis reconnaître ce qu'il était. Était-ce lui que je craignais le plus ?
    "- Tu sais quand utilisant la magie, il y a un prix à payer. Je savais que je m'épuiserait, et j'espérais que tu puisses m'aider et être reconnaissant en vers ce sacrifice. Voilà le prix de ce sort ! L'espoir ! Mais tu ne semblais pas vouloir contribuer à ce prix, alors te voilà puni, il n'y a rien eu en échange de ce sort, il s'annulera donc. Si tu tiens à ta jambe, il te faudra me ressuciter en suivant mes ordres. Quand tu te reveilleras, la cicatrice commencera à réapparaître. Es-tu prêt à te lancer dans une quête ?"
    Il disparut, et ne revit plus le drufle. Arriva ensuite le réveil...


    Je regardais alors ma jambe et je voyais que mon vieux pantalon moisi était fraichement tâché de sang, je l'enlevais donc et je vis une plaie à la place de ma cicatrice, je pouvais voir que cette plaie se rouvrait de plus en plus vite. Je décidais alors d'aller immédiatement voir un médecin, j'ai donc couru vers un vétérinaire qui se situait à 3 rues de l'auberge, mais à mis chemin, je tombais, je ne pouvais plus bouger ma jambe qui était paralysée par une douleur imperceptible. Me voyant tomber, une femme avait accouru en ma direction afin de m'aider, c'était une belle femme fine aux cheveux bruns et aux yeux verts, je sentais son doux parfum m'emplir de bonheur, elle portait une jolie mauve en soie importée d'un pays voisin. Elle me fixa avec ses deux grands yeux verts et me dit :
    "Pourquoi êtes-vous tombé si précipitamment ? Vous avez pourtant l'air d'être un homme robuste qui tient sur ses deux jambes, bien musclées d'ailleurs. Cela doit surement provenir de tout ce sang qui déborde, que le Créateur nous vienne en aide, que vous est-il arrivé pour que vous ayez une plaie si profonde et si inhabituelle ? Je vous emmène immédiatement voir mon père, il saura vous soigner !"
    Elle m'aidait à marcher jusqu'à chez elle, une petite maison victorienne aux volets bleus et aux murs blancs, son père nous avait ouvert la porte et m'avait pris afin de me mettre sur une sorte de table blanche rembourrée avec des coussins. Ensuite... je ne m'en souviens plus, d'après ce qu'il m'avait dit ce jour-là, il a fermé la plaie, mais elle se rouvrait à chaque fois, c'est pour cela qu'il a dû amputer ma jambe...

     
  4. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Je regardais alors ma jambe et je voyais que mon vieux pantalon moisi était fraichement tâché de sang, je l'enlevais donc et je vis une plaie à la place de ma cicatrice, je pouvais voir que cette plaie se rouvrait de plus en plus vite. Je décidais alors d'aller immédiatement voir un médecin, j'ai donc couru vers un vétérinaire qui se situait à 3 rues de l'auberge, mais à mis chemin, je tombais, je ne pouvais plus bouger ma jambe qui était paralysée par une douleur imperceptible. Me voyant tomber, une femme avait accouru en ma direction afin de m'aider, c'était une belle femme fine aux cheveux bruns et aux yeux verts, je sentais son doux parfum m'emplir de bonheur, elle portait une jolie mauve en soie importée d'un pays voisin. Elle me fixa avec ses deux grands yeux verts et me dit :
    "Pourquoi êtes-vous tombé si précipitamment ? Vous avez pourtant l'air d'être un homme robuste qui tient sur ses deux jambes, bien musclées d'ailleurs. Cela doit surement provenir de tout ce sang qui déborde, que le Créateur nous vienne en aide, que vous est-il arrivé pour que vous ayez une plaie si profonde et si inhabituelle ? Je vous emmène immédiatement voir mon père, il saura vous soigner !"
    Elle m'aidait à marcher jusqu'à chez elle, une petite maison victorienne aux volets bleus et aux murs blancs, son père nous avait ouvert la porte et m'avait pris afin de me mettre sur une sorte de table blanche rembourrée avec des coussins. Ensuite... je ne m'en souviens plus, d'après ce qu'il m'avait dit ce jour-là, il a fermé la plaie, mais elle se rouvrait à chaque fois, c'est pour cela qu'il a dû amputer ma jambe. Cela m'a appris une leçon : ne jamais se fier a la magie .On remplaça la jambe par une jambe de bois et on expliqua a mon père adoptif les circonstances de cette étrange réouverture de la blessure . Il en comprit la raison et ne me fit pas la morale : cette aventure me servira de leçon .Le temps a passé depuis ce jour .Il était rare que les marins aille a l'auberge trop loin des quai pourtant un des habitués était un capitaine du nom de Cyrille , il cachait son œil mort sous son bandeau de tissu marron . J'adorais ses histoires qu'il racontait car elle me faisait rêvasser , voir des terres inconnues , des rivages inexplorés , des cités merveilles . Un jour , j'ai pu admirer son audace . Il allait quitter la taverne lorsqu'il bouscula un gros personnage qui venait d'entrer avec ses gardes du corps. Toute la salle se tourna pour voir ce qui allait se passer .
    Je me souviens mot pour mot de ce qui fut dit ce jour-là .
    "Vous pouvez vous pousser quand j'entre manant !"
    "Difficile d'éviter votre grasse bedaine messire surtout quand on ne l'a pas vu."
    Il faut dire que l'homme était gros et richement habillé a la ceinture il avait une épée .
    " Manant excusez vous tout de suite ou je vous fait décapiter ! Je suis votre seigneur et maitre !"
    " Ce que je vois c'est un gros tas de lard qui fait des menace aussi vrai que ce gros tas en question est Grodeg ."
    Grodeg empoigna son épée pour la dégainer blanchissant sous l'insulte .
     
  5. vanlong [Fukushimiste]

    vanlong [Fukushimiste] Mineur de Redstone

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    HRP : J'avais pas envie qu'il sombre ce jeu.

    Je regardais alors ma jambe et je voyais que mon vieux pantalon moisi était fraichement tâché de sang, je l'enlevais donc et je vis une plaie à la place de ma cicatrice, je pouvais voir que cette plaie se rouvrait de plus en plus vite. Je décidais alors d'aller immédiatement voir un médecin, j'ai donc couru vers un vétérinaire qui se situait à 3 rues de l'auberge, mais à mis chemin, je tombais, je ne pouvais plus bouger ma jambe qui était paralysée par une douleur imperceptible. Me voyant tomber, une femme avait accouru en ma direction afin de m'aider, c'était une belle femme fine aux cheveux bruns et aux yeux verts, je sentais son doux parfum m'emplir de bonheur, elle portait une jolie mauve en soie importée d'un pays voisin. Elle me fixa avec ses deux grands yeux verts et me dit :
    "Pourquoi êtes-vous tombé si précipitamment ? Vous avez pourtant l'air d'être un homme robuste qui tient sur ses deux jambes, bien musclées d'ailleurs. Cela doit surement provenir de tout ce sang qui déborde, que le Créateur nous vienne en aide, que vous est-il arrivé pour que vous ayez une plaie si profonde et si inhabituelle ? Je vous emmène immédiatement voir mon père, il saura vous soigner !"
    Elle m'aidait à marcher jusqu'à chez elle, une petite maison victorienne aux volets bleus et aux murs blancs, son père nous avait ouvert la porte et m'avait pris afin de me mettre sur une sorte de table blanche rembourrée avec des coussins. Ensuite... je ne m'en souviens plus, d'après ce qu'il m'avait dit ce jour-là, il a fermé la plaie, mais elle se rouvrait à chaque fois, c'est pour cela qu'il a dû amputer ma jambe. Cela m'a appris une leçon : ne jamais se fier a la magie .On remplaça la jambe par une jambe de bois et on expliqua a mon père adoptif les circonstances de cette étrange réouverture de la blessure . Il en comprit la raison et ne me fit pas la morale : cette aventure me servira de leçon .Le temps a passé depuis ce jour .Il était rare que les marins aille a l'auberge trop loin des quai pourtant un des habitués était un capitaine du nom de Cyrille , il cachait son œil mort sous son bandeau de tissu marron . J'adorais ses histoires qu'il racontait car elle me faisait rêvasser , voir des terres inconnues , des rivages inexplorés , des cités merveilles . Un jour , j'ai pu admirer son audace . Il allait quitter la taverne lorsqu'il bouscula un gros personnage qui venait d'entrer avec ses gardes du corps. Toute la salle se tourna pour voir ce qui allait se passer .
    Je me souviens mot pour mot de ce qui fut dit ce jour-là .
    "Vous pouvez vous pousser quand j'entre manant !"
    "Difficile d'éviter votre grasse bedaine messire surtout quand on ne l'a pas vu."
    Il faut dire que l'homme était gros et richement habillé a la ceinture il avait une épée .
    " Manant excusez vous tout de suite ou je vous fait décapiter ! Je suis votre seigneur et maitre !"
    " Ce que je vois c'est un gros tas de lard qui fait des menace aussi vrai que ce gros tas en question est Grodeg ."
    Grodeg empoigna son épée pour la dégainer blanchissant sous l'insulte.
    Cyrille empoigna lui aussi son arme et la dégaina. Les hommes entourant Grodeg sortirent eux aussi leurs armes semblant avoir été aiguisées il y a peu. C'était peut-être ma seule chance de partir avec lui pour découvrir le vaste monde inconnu, j'ai donc moi aussi participé à la bataille utilisant différentes bottes secrètes pour terrasser mes adversaires. Les deux hommes qui entouraient Grodeg tombèrent sous le joug de ma lame, leurs chemises tachées de sang et les nombreuses marques saillant la peau donnaient une envie de débagouler aux rares clients présents encore dans la taverne. Il ne restait que cet homme face à nous, Cyrille et moi-même.
     
  6. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Cyrille empoigna lui aussi son arme et la dégaina. Les hommes entourant Grodeg sortirent eux aussi leurs armes semblant avoir été aiguisées il y a peu. C'était peut-être ma seule chance de partir avec lui pour découvrir le vaste monde inconnu, j'ai donc moi aussi participé à la bataille utilisant différentes bottes secrètes pour terrasser mes adversaires. Les deux hommes qui entouraient Grodeg tombèrent sous le joug de ma lame, leurs chemises tachées de sang et les nombreuses marques saillant la peau donnaient une envie de débagouler aux rares clients présents encore dans la taverne. Il ne restait que cet homme face à nous, Cyrille et moi-même.
    Il couina comme un porc quand Cyrille lui donna un coup de pied dans sa large panse . Le gros personnage tomba a la renverse sous l'impact puis il s'affola et se mit hurler a la garde comme un fou en essayant de se relever . C'était ça un seigneur ? Je les imaginais mieux que ça . Je crachais sur lui qui se gavait et jouissait d'un luxe immodéré pendant qu'on vivait comme on le pouvait ! Je leva mon épée mais Cyrille m'arrêta : " Laisse le vivre , qu'il lance des navires a notre poursuite dont on se jouera ." puis le frappa durement avec le pommeau de son arme .J'étais frustré mais j'ai compris que Cyrille voulait que le seigneur dépense son argent a nous traquer .
     
  7. vanlong [Fukushimiste]

    vanlong [Fukushimiste] Mineur de Redstone

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    Cyrille empoigna lui aussi son arme et la dégaina. Les hommes entourant Grodeg sortirent eux aussi leurs armes semblant avoir été aiguisées il y a peu. C'était peut-être ma seule chance de partir avec lui pour découvrir le vaste monde inconnu, j'ai donc moi aussi participé à la bataille utilisant différentes bottes secrètes pour terrasser mes adversaires. Les deux hommes qui entouraient Grodeg tombèrent sous le joug de ma lame, leurs chemises tachées de sang et les nombreuses marques saillant la peau donnaient une envie de débagouler aux rares clients présents encore dans la taverne. Il ne restait que cet homme face à nous, Cyrille et moi-même.
    Il couina comme un porc quand Cyrille lui donna un coup de pied dans sa large panse . Le gros personnage tomba a la renverse sous l'impact puis il s'affola et se mit hurler a la garde comme un fou en essayant de se relever . C'était ça un seigneur ? Je les imaginais mieux que ça . Je crachais sur lui qui se gavait et jouissait d'un luxe immodéré pendant qu'on vivait comme on le pouvait ! Je leva mon épée mais Cyrille m'arrêta : " Laisse le vivre , qu'il lance des navires a notre poursuite dont on se jouera ." puis le frappa durement avec le pommeau de son arme .J'étais frustré mais j'ai compris que Cyrille voulait que le seigneur dépense son argent a nous traquer .


    Cet homme, Cyrille, m'avait pris sous son aile peu après ce bref combat avec ce tas de graisse du nom de Grodeg. J'ai appris par les rumeurs que celui-ci était décédé après le coup de Cyrille dans sa panse. Cyrille m'avait tout appris du combat au corps à corps ou encore à mains nues. Nous avions embarqué pour un royaume du nom de Arcadia. Ce royaume que seuls quelques-uns ont réussi à trouver, abrite des créatures et divers animaux que personne n'a découvert. Par conséquent, nous avons décidé de partir pour ce monde qui selon les rumeurs serait d'une beauté qu'aucun n'a le droit de contempler.
     
    #22 vanlong [Fukushimiste], 12 Mar 2014
    Dernière édition: 12 Mar 2014
  8. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Cet homme, Cyrille, m'avait pris sous son aile peu après ce bref combat avec ce tas de graisse du nom de Grodeg. J'ai appris par les rumeurs que celui-ci était décédé après le coup de Cyrille dans sa panse. Cyrille m'avait tout appris au combat au corps à corps ou encore à mains nues. Nous avions embarqué pour un royaume du nom de Arcadia. Ce royaume que seuls quelques-uns ont réussi à trouver, abrite des créatures et divers animaux que personne n'a découvert. Par conséquent, nous avons décidé de partir pour ce monde qui selon les rumeurs serait d'une beauté qu'aucun n'a le droit de contempler. Nous avons pris l'Hérobrine , le navire de Cyrille pour voyager jusqu'à Arcadia . Nous savions que le chemin était pavés de danger et que nous étions poursuivis pour le meurtre du seigneur Grodeg . Notre première escale était une ile qui était une véritable forteresse naturelle ; c'était le repaire du "prince" des pirates , Senchanter . Il nous accueillit amicalement en faisant part de ses plans et découvrit avec surprise qu'il n'était pas plus âgé que moi bien qu'il sut nager avant de marcher. Senchanter voulait attaquer une cité portuaire du nom de Maleyr avec une centaine de navires .
     
  9. vanlong [Fukushimiste]

    vanlong [Fukushimiste] Mineur de Redstone

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    Cet homme, Cyrille, m'avait pris sous son aile peu après ce bref combat avec ce tas de graisse du nom de Grodeg. J'ai appris par les rumeurs que celui-ci était décédé après le coup de Cyrille dans sa panse. Cyrille m'avait tout appris au combat au corps à corps ou encore à mains nues. Nous avions embarqué pour un royaume du nom de Arcadia. Ce royaume que seuls quelques-uns ont réussi à trouver, abrite des créatures et divers animaux que personne n'a découvert. Par conséquent, nous avons décidé de partir pour ce monde qui selon les rumeurs serait d'une beauté qu'aucun n'a le droit de contempler. Nous avons pris l'Hérobrine , le navire de Cyrille pour voyager jusqu'à Arcadia . Nous savions que le chemin était pavés de danger et que nous étions poursuivis pour le meurtre du seigneur Grodeg . Notre première escale était une ile qui était une véritable forteresse naturelle ; c'était le repaire du "prince" des pirates , Senchanter . Il nous accueillit amicalement en faisant part de ses plans et découvrit avec surprise qu'il n'était pas plus âgé que moi bien qu'il sut nager avant de marcher. Senchanter voulait attaquer une cité portuaire du nom de Maleyr avec une centaine de navires. Les membres de l'Hérobrine étaient certains que Senchanter était fou, qu'il allait les conduire à une mort certaine, qu'ils ne pourront revoir leur famille. Les rumeurs racontent que Maleyr est une ville la plus fortifiée, ses remparts infranchissables larges de 5 cubes bâtis avec des pierres taillées par les meilleurs artisans de Arcadia, ses tours au toit de bois d'épicéa garnis de soldats pouvant à travers les nombreuses fentes pullulant ces tours décocher de nombreuses flèches et ses maisons toutes construites en pierres ne permettent pas un assaut par le feu. Cyrille semblait lui aussi perplexe sur cette attaque mais ... lorsque le besoin d'action appelle, Cyrille ne peut résister à lui répondre.


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  10. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Nous avons pris l'Hérobrine , le navire de Cyrille pour voyager jusqu'à Arcadia . Nous savions que le chemin était pavés de danger et que nous étions poursuivis pour le meurtre du seigneur Grodeg . Notre première escale était une ile qui était une véritable forteresse naturelle ; c'était le repaire du "prince" des pirates , Senchanter . Il nous accueillit amicalement en faisant part de ses plans et découvrit avec surprise qu'il n'était pas plus âgé que moi bien qu'il sut nager avant de marcher. Senchanter voulait attaquer une cité portuaire du nom de Maleyr avec une centaine de navires. Les membres de l'Hérobrine étaient certains que Senchanter était fou, qu'il allait les conduire à une mort certaine, qu'ils ne pourront revoir leur famille. Les rumeurs racontent que Maleyr est une ville la plus fortifiée, ses remparts infranchissables larges de 5 cubes bâtis avec des pierres taillées par les meilleurs artisans de Arcadia, ses tours au toit de bois d'épicéa garnis de soldats pouvant à travers les nombreuses fentes pullulant ces tours décocher de nombreuses flèches et ses maisons toutes construites en pierres ne permettent pas un assaut par le feu. Cyrille semblait lui aussi perplexe sur cette attaque mais ... lorsque le besoin d'action appelle, Cyrille ne peut résister à lui répondre. Au moment du départ , Senchanter dit a tout le monde : " d'après mes sources ,l'Archonte Lurond , le chef des mages et une petite centaine de noble avec leurs mesnie qui suivent le jeune prince Astaren sont présents à Maleyr . Je compte faire la peau a Lurond et faire rançonner le prince Astaren ainsi que la plupart des nobles de sa suite . J'ai réussi a dénicher de vieux plans concernant des catapultes monté sur bateau ; vous les monterez sur vos navires pour démolir ce qui fait l'orgueil du seigneur de Maleyr ! Si nous réussissons nous serons riches a jamais !" puis il fit amener les catapultes modifié et nous les montâmes a bord pour les installer . Là , Cyrille avait dit : " Senchanter n'est pas si fou finalement . Il a réuni presque vingt mille hommes et ces catapultes pour attaquer Maleyr ." Les marins et moi même l'approuvèrent aussitôt .
     
  11. janviera

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    Au moment du départ , Senchanter dit a tout le monde : " d'après mes sources ,l'Archonte Lurond , le chef des mages et une petite centaine de noble avec leurs mesnie qui suivent le jeune prince Astaren sont présents à Maleyr . Je compte faire la peau a Lurond et faire rançonner le prince Astaren ainsi que la plupart des nobles de sa suite . J'ai réussi a dénicher de vieux plans concernant des catapultes monté sur bateau ; vous les monterez sur vos navires pour démolir ce qui fait l'orgueil du seigneur de Maleyr ! Si nous réussissons nous serons riches a jamais !" puis il fit amener les catapultes modifié et nous les montâmes a bord pour les installer . Là , Cyrille avait dit : " Senchanter n'est pas si fou finalement . Il a réuni presque vingt mille hommes et ces catapultes pour attaquer Maleyr ." Les marins et moi même l'approuvèrent aussitôt .
    Après 2 jours de voyage par bateau, je pus contempler la cité dite "imprenable". Effectivement, ce ne serait pas une mince affaire! Les hautes murailles semblaient aller jusqu'au ciel et les pierres qui les composaient apparaissaient comme indestructible. Il y avait quelques trous mais ils étaient tous comblés par des pointes de flèches. "des archers" me dis-je en réfléchissant au moyen de pénétrer dans cette cité mais plus j'y pensais, plus cela me paraissait impossible. des catapultes, même modifiées ne pourraient venir a bout du mur, ou du moins ne pourraient pas percer un trou assez gros pour permettre a un homme de passer. et quand bien même elles y arriveraient, il restait toujours à accoster sur l’île sans se faire canarder de flèches. c'est alors qu'un marin fis une chose stupide: il grimpa tout en haut du mât, sortit son sabre et poussa un rugissement menacent. Pour la discrétion, c'est raté! La bataille avait déjà commencée.
     
  12. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    Après 2 jours de voyage par bateau, je pus contempler la cité dite "imprenable". Effectivement, ce ne serait pas une mince affaire! Les hautes murailles semblaient aller jusqu'au ciel et les pierres qui les composaient apparaissaient comme indestructible. Il y avait quelques trous mais ils étaient tous comblés par des pointes de flèches. "des archers" me dis-je en réfléchissant au moyen de pénétrer dans cette cité mais plus j'y pensais, plus cela me paraissait impossible. des catapultes, même modifiées ne pourraient venir a bout du mur, ou du moins ne pourraient pas percer un trou assez gros pour permettre a un homme de passer. et quand bien même elles y arriveraient, il restait toujours à accoster sur l’île sans se faire canarder de flèches. c'est alors qu'un marin fis une chose stupide: il grimpa tout en haut du mât, sortit son sabre et poussa un rugissement menacent. Pour la discrétion, c'est raté! La bataille avait déjà commencée.
    Des cors sonnaient provenant de l'immense muraille de pierre qui masquait la ville de Maleyr . L'Arrowdale de Senchanter vira près des fortifications a porté de l'huile bouillante et des pierre qui pouvaient être lancé ou versé sur le navire . Il commença a tirer sur la base des fortifcations fragilisant la muraille par son bas . Déjà , des flèches tombaient sur nous blessant ou tuant les marins . On trainait les blessés vers l'infirmerie sous le pont . Je me précipitais pour aller remplacer un des servants auprès des catapultes modifié et , visant , soigneusement toucha le sommet de la muraille emportant les archers qui s'étaient présentés sur la portion de muraille . Les autres navires imitèrent L'Arrowdale a leurs risque et périls car ,déjà ,l'un d'eux partit en flammes . Un grand boucan se fit entendre , je relevai les yeux pour voir la muraille abimé a la base s'effondrer sur les navires des capitaines imprudents .
     
    #27 Vrankiel, 6 Avr 2014
    Dernière édition: 6 Avr 2014
  13. janviera

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    Une flèche siffla juste à coté de mon oreille droite et j'eus le réflexe(qui me sauva la vie d'ailleurs) de sauter par terre. Sauf qu'il n'y avait pas de par terre. je sauta, sentit ma chute s'allonger et enfin, une eau glacée entra en moi tel un voleur dans un moulin. J'avais sauté à l'eau. Je refis surface et regarda autour de moi. Une brèche avait été percée dans le mur. C'est alors qu'une voix que je connaissait bien me cria: "Và, vite, entre dans la forteresse et empêche les soldats de nous en interdire l'accès!". Je voulus m’exécuter mais la chute des pierres et d'une partie du mur créa une grande vague qui venait vers nous. Elle Frappa le navire si fort qu'il tangua et fit tomber presque tout le monde. Tout se passa alors très vite. Je vis la vague, Cyrille chancelait, un archer avait sa flèche encochée et son arc bandé... La vague frappa, je me retrouvais sous l'eau, et, quand je revis la surface, Cyrille tombait par-dessus le bord, la poitrine percée d'une flèche... Ah, les enfoirés!
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    Il est génial ce jeu! :D
     
  14. Vrankiel

    Vrankiel Mineur d'Obsidiennes

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    L'Arrowdale luttait de vitesse avec les débris et la vague . Senchanter qui tenait la barre paraissait extrêmement concentré , serrant les dents mais ses yeux ... ne reflétait pas une trace de peur . J'adore ce type finalement pour ne pas avoir froid aux yeux devant tout les risques . Qu'avait dit Cyrille a ce sujet ? Que c'était sa jeunesse qui l'empêchais de mesurer les risques . Je revint aussitôt a la réalité en pensant a Cyrille . je nagea frénétiquement vers le lieu ou était tombé Cyrille et plongea pour le récupérer . Je voulais le sauver , il était comme un père pour moi ! Il coulait vers le fond ,inconscients ou mort ,je ne le savais pas . J'attrapa sa chemise et le tira pour ramener a la surface et on m'aida a le remonter sur le pont . Aussitôt les marins se précipitais pour s'occuper de Cyrille me laissant planter là . Je ne tenais pas attendre la nouvelle alors je sauta a l'eau pour rejoindre la brèche . On m'avait devancé ; une quarantaine mouillait déjà débarquant ses marins pour pénétrer dans la brèche . Ils y avaient beaucoup de marins jeté a la mer par la vague qui nageais pour atteindre les navires . C'est alors que L'Arrowdale passa a coté de moi et Senchanter lança par dessus le bord un filet particulier en criant : " Grimpez ! Vous irez plus vite qu'a la nage !"

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    Je suis content qu'il te plaise ^^ . L'histoire est passionnante dommage qu'il y ait pas plus de gens de talent dans ce domaine pour poursuivre ce RP ;).
     
  15. janviera

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    je ne me fis pas prier! j'atteignis le filet en nageant et au moment ou mes doigts entrèrent en contact avec ce dernier, il se transforma en une sorte de nuage, à la fois dur et moelleux. je restais quelques secondes, muet d'admiration devant ce prodige quand le sifflement d'une flèche me ramena à la réalité. Maudissant celui qui l'avait tirée, je monta sur le filet-nuage qui partit aussitôt pour m'emmener vers la brèche ou, déjà, quatre hommes armés m'attendaient.
     

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